Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Charles Koffi Diby, était hier au siège du PDCI. Il s’agissait pour lui de se faire identifier conformément aux réformes qui sont en cours dans le parti du père de la nation, Félix Houphouët-Boigny. Au sortir de cette opération, il a accepté de se prononcer sur ses nouvelles fonctions dans le gouvernement Duncan I.
Monsieur le ministre d’Etat, vous venez de vous faire identifier. Quel sens donnez-vous à cette opération ?
C’est un sens de responsabilité. Je pense que quand on fait partie d’un parti politique, il faut assumer pleinement ses responsabilités et s’engager pleinement. C’est le sens que je donne à l’acte que je viens de poser et j’en suis très fier.
Le président Bédié entend moderniser le PDCI et vous, quel est votre avis sur la question ?
Si le PDCI ne se modernise pas, alors il devient un parti archaïque. Or le PDCI est appelé à vivre, ad vitam, aeternam. Il faut songer à des réformes importantes pour que le parti soit beaucoup plus crédible, pour que le parti attire d’autres adhérents, pour que le parti se solidifie et soit beaucoup plus dynamique. C’est très important et nous adhérons totalement à toutes les réformes qui sont en train d’être engagées. Notre parti eu sortira grandi.
Vous êtes désormais au bureau politique du PDCI ?
Oui et je suis reconnaissant au président Bédié. Premièrement, le président Bédié en liaison avec le secrétaire général, a décidé que je sois désormais au bureau politique. C’est très important pour moi de lui être reconnaissant. C’est un acte majeur que je respecte. Je puis vous dire que je mesure pleinement la hauteur de cet acte. Deuxièmement, c’est le président Bédié qui, en liaison avec le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara et le Premier ministre m’ont fait cette grande promotion.
M. Le ministre d’Etat, on ne peut pas vous avoir en face, sans parler de votre nouvelle fonction dans le gouvernement. Comment l’appréhendez-vous et quels seront vos chantiers en tant que ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères ?
D’abord, je voudrais vous dire que c’est un grand challenge. C’est un très grand challenge et si vous avez remarqué, le Président de la République lui-même a décliné ma feuille de route lorsqu’il a reçu l’ensemble du corps diplomatique accrédité chez nous (NDLR en Côte d’Ivoire). Pour dire que s’il nous fait partir à cette haute fonction, c’est parce que désormais il ne s’agit pas de faire uniquement de la diplomatie mais de faire aussi de l’éco-diplomatie. Mon rôle sera de capter les ressources, de capter les investisseurs et les transmettre à la Côte d’Ivoire pour en tirer le meilleur profit.
C’est donc votre carnet d’adresses, en tant que
financier qui sera mis à contribution, n’est-ce pas ?
Exactement. Et bien entendu avec aussi le carnet d’adresses du Président de la République parce que n’oubliez pas que le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a déjà tracé le canevas ! Nous nous sentons très heureux de pouvoir poursuivre, ce qui a démarré avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan sur instruction du Président de la République. Nous allons faire en sorte d’être à la hauteur. Nous allons continuer à dynamiser ce secteur –là. Qui est un secteur très important, parce que c’est à travers le ministère des Affaires étrangères que la Côte d’Ivoire assume sa souveraineté à l’international. Vous reconnaissez avec moi que c’est un ministère dont le premier responsable est le Président de la République lui-même. C’est donc un grand challenge et nous allons essayer avec tout ce que nous avons d’humain en nous de relever ce défi. J’espère pouvoir donner satisfaction à la confiance qui m’a été
faite.
K. Hyacinthe
Monsieur le ministre d’Etat, vous venez de vous faire identifier. Quel sens donnez-vous à cette opération ?
C’est un sens de responsabilité. Je pense que quand on fait partie d’un parti politique, il faut assumer pleinement ses responsabilités et s’engager pleinement. C’est le sens que je donne à l’acte que je viens de poser et j’en suis très fier.
Le président Bédié entend moderniser le PDCI et vous, quel est votre avis sur la question ?
Si le PDCI ne se modernise pas, alors il devient un parti archaïque. Or le PDCI est appelé à vivre, ad vitam, aeternam. Il faut songer à des réformes importantes pour que le parti soit beaucoup plus crédible, pour que le parti attire d’autres adhérents, pour que le parti se solidifie et soit beaucoup plus dynamique. C’est très important et nous adhérons totalement à toutes les réformes qui sont en train d’être engagées. Notre parti eu sortira grandi.
Vous êtes désormais au bureau politique du PDCI ?
Oui et je suis reconnaissant au président Bédié. Premièrement, le président Bédié en liaison avec le secrétaire général, a décidé que je sois désormais au bureau politique. C’est très important pour moi de lui être reconnaissant. C’est un acte majeur que je respecte. Je puis vous dire que je mesure pleinement la hauteur de cet acte. Deuxièmement, c’est le président Bédié qui, en liaison avec le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara et le Premier ministre m’ont fait cette grande promotion.
M. Le ministre d’Etat, on ne peut pas vous avoir en face, sans parler de votre nouvelle fonction dans le gouvernement. Comment l’appréhendez-vous et quels seront vos chantiers en tant que ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères ?
D’abord, je voudrais vous dire que c’est un grand challenge. C’est un très grand challenge et si vous avez remarqué, le Président de la République lui-même a décliné ma feuille de route lorsqu’il a reçu l’ensemble du corps diplomatique accrédité chez nous (NDLR en Côte d’Ivoire). Pour dire que s’il nous fait partir à cette haute fonction, c’est parce que désormais il ne s’agit pas de faire uniquement de la diplomatie mais de faire aussi de l’éco-diplomatie. Mon rôle sera de capter les ressources, de capter les investisseurs et les transmettre à la Côte d’Ivoire pour en tirer le meilleur profit.
C’est donc votre carnet d’adresses, en tant que
financier qui sera mis à contribution, n’est-ce pas ?
Exactement. Et bien entendu avec aussi le carnet d’adresses du Président de la République parce que n’oubliez pas que le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a déjà tracé le canevas ! Nous nous sentons très heureux de pouvoir poursuivre, ce qui a démarré avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan sur instruction du Président de la République. Nous allons faire en sorte d’être à la hauteur. Nous allons continuer à dynamiser ce secteur –là. Qui est un secteur très important, parce que c’est à travers le ministère des Affaires étrangères que la Côte d’Ivoire assume sa souveraineté à l’international. Vous reconnaissez avec moi que c’est un ministère dont le premier responsable est le Président de la République lui-même. C’est donc un grand challenge et nous allons essayer avec tout ce que nous avons d’humain en nous de relever ce défi. J’espère pouvoir donner satisfaction à la confiance qui m’a été
faite.
K. Hyacinthe