Abidjan – Sur l’initiative de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), appuyée par la Fondation Friedrich Ebert (FES), 40 personnes issues de diverses corporations participent jeudi à Manhattan Suites (Cocody, Abidjan), à un atelier portant sur le thème « Evaluation et perspectives de la cohésion sociale et de la Réconciliation nationale en Côte d’Ivoire ».
L’objectif général du séminaire est de contribuer à la réussite de la réconciliation nationale et au renforcement de la cohésion sociale.
Il s’agit spécifiquement de mieux comprendre le rôle de la société civile dans le processus de réconciliation nationale; de disposer d’indicateurs facilitant l’évaluation de la réconciliation et de la cohésion en Côte d’Ivoire; d’établir des points de convergence complémentarité entre les actions de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR) et celles des acteurs non-étatiques en matière de réconciliation nationale et de cohésion sociale.
Procédant à l’ouverture officielle des travaux, le représentant de la FES, Kouamé David a souligné que les Ivoiriens doivent relever le grand défi de la réconciliation et de la cohésion après la grave crise postélectorale. « Aucun sacrifice n’est trop grand pour la tenue de ce pari », a-t-il fait observer, donnant l’assurance que la Fondation Friedrich Ebert qui a déjà mené diverses activités dans cette optique, est prête à aider la Côte d’Ivoire à relever ce défi.
Auparavant, le représentant du coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouacou Prince a estimé que l’atelier vient à propos car il s’agira d’examiner le processus de réconciliation nationale et de cohésion sociale, en vue de « faire des propositions idoines pour faire sortir la Côte d’Ivoire du gouffre dans lequel elle se trouve ».
Au total 40 personnes issues de la CDVR, de ministères, des médias, du cercle religieux, de la chefferie traditionnelle, de l’ONUCI, d’ONG de droits de l’Homme et de la démocratie participent à cet atelier qui va plancher sur l’évaluation des actions menées dans le cadre de la réconciliation nationale, les indicateurs de la cohésion sociale et la contribution des acteurs non étatiques dans le renforcement de la cohésion sociale.
Les résultats attendus concernent l’identification des axes de contribution de la société civile au processus de réconciliation nationale; l’identification des modalités de participation des populations au processus de réconciliation; la disponibilité des indicateurs facilitant l’évaluation de la réconciliation et de la cohésion; l’établissement d’un mode de collaboration effective entre la CDVR et les acteurs non étatiques, dans la mise en œuvre des actions favorisant la réconciliation et la cohésion.
Deux panels sont prévus à cet atelier d’un jour, autour du thème central de l’atelier. Le premier, du point de vue institutionnel, présenté par Dr Marie Paule Kodjo, conseillère du président de la CDVR, Charles Konan Banny, et le second, du point de vue de la société civile, présenté par Jean Bosson de la CSCI.
L’objectif général du séminaire est de contribuer à la réussite de la réconciliation nationale et au renforcement de la cohésion sociale.
Il s’agit spécifiquement de mieux comprendre le rôle de la société civile dans le processus de réconciliation nationale; de disposer d’indicateurs facilitant l’évaluation de la réconciliation et de la cohésion en Côte d’Ivoire; d’établir des points de convergence complémentarité entre les actions de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR) et celles des acteurs non-étatiques en matière de réconciliation nationale et de cohésion sociale.
Procédant à l’ouverture officielle des travaux, le représentant de la FES, Kouamé David a souligné que les Ivoiriens doivent relever le grand défi de la réconciliation et de la cohésion après la grave crise postélectorale. « Aucun sacrifice n’est trop grand pour la tenue de ce pari », a-t-il fait observer, donnant l’assurance que la Fondation Friedrich Ebert qui a déjà mené diverses activités dans cette optique, est prête à aider la Côte d’Ivoire à relever ce défi.
Auparavant, le représentant du coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouacou Prince a estimé que l’atelier vient à propos car il s’agira d’examiner le processus de réconciliation nationale et de cohésion sociale, en vue de « faire des propositions idoines pour faire sortir la Côte d’Ivoire du gouffre dans lequel elle se trouve ».
Au total 40 personnes issues de la CDVR, de ministères, des médias, du cercle religieux, de la chefferie traditionnelle, de l’ONUCI, d’ONG de droits de l’Homme et de la démocratie participent à cet atelier qui va plancher sur l’évaluation des actions menées dans le cadre de la réconciliation nationale, les indicateurs de la cohésion sociale et la contribution des acteurs non étatiques dans le renforcement de la cohésion sociale.
Les résultats attendus concernent l’identification des axes de contribution de la société civile au processus de réconciliation nationale; l’identification des modalités de participation des populations au processus de réconciliation; la disponibilité des indicateurs facilitant l’évaluation de la réconciliation et de la cohésion; l’établissement d’un mode de collaboration effective entre la CDVR et les acteurs non étatiques, dans la mise en œuvre des actions favorisant la réconciliation et la cohésion.
Deux panels sont prévus à cet atelier d’un jour, autour du thème central de l’atelier. Le premier, du point de vue institutionnel, présenté par Dr Marie Paule Kodjo, conseillère du président de la CDVR, Charles Konan Banny, et le second, du point de vue de la société civile, présenté par Jean Bosson de la CSCI.