ABIDJAN - L`ex-Premier ministre de l`ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, qui vient d`obtenir la liberté provisoire comme sept autres personnalités de son bord, a "supplié" samedi le gouvernement d`Alassane Ouattara de libérer les autres prisonniers pro-Gbagbo.
Gilbert Aké N`Gbo a, "au nom de (ses) amis", remercié "tous ceux qui ont contribué" à ces libérations annoncées jeudi, citant le président Ouattara et son gouvernement.
Détenus dans le nord du pays depuis plus d`un an et demi, l`ex-chef du gouvernement et trois autres ex-prisonniers ont été accueillis dans la liesse à leur arrivée à Abidjan par certains de leurs soutiens réunis dans un hôtel.
"Je voudrais également supplier le gouvernement pour qu`il pense (à) élargir toutes celles et tous ceux qui sont encore privés de liberté en cette fin d`année", a ajouté devant la presse celui qui fut Premier ministre de M. Gbagbo durant la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts.
M. Aké N`Gbo était accompagné de son ex-ministre de l`Economie Désiré Dallo, d`un syndicaliste et d`un journaliste, tout juste libérés comme lui et visiblement en bonne forme.
La justice a annoncé jeudi avoir accordé la liberté provisoire à huit détenus pro-Gbagbo, tous incarcérés après la crise de 2010-2011. Ils sont inculpés de génocide et de crimes de sang pour certains, d`autres uniquement d`atteinte à la sûreté de l`Etat ou d`infractions économiques.
Plusieurs personnalités de l`ancien pouvoir - dont l`ex-Première dame, Simone Gbagbo, et le fils franco-ivoirien de l`ancien président, Michel Gbagbo sont encore en détention. Des dizaines d`autres personnes, des civils et des militaires en poste sous le régime déchu, restent aussi en prison, souvent dans le Nord.
Les dernières libérations doivent participer "à l`apaisement du climat social", a estimé le ministre de la Justice Gnénéma Coulibaly dans le quotidien d`Etat Fraternité-Matin publié samedi, n`excluant pas d`autres libérations.
Les forces de sécurité ont été visées vendredi par deux nouvelles attaques, notamment à Abidjan, qui ont fait au moins un mort et quatre blessés.
Gilbert Aké N`Gbo a, "au nom de (ses) amis", remercié "tous ceux qui ont contribué" à ces libérations annoncées jeudi, citant le président Ouattara et son gouvernement.
Détenus dans le nord du pays depuis plus d`un an et demi, l`ex-chef du gouvernement et trois autres ex-prisonniers ont été accueillis dans la liesse à leur arrivée à Abidjan par certains de leurs soutiens réunis dans un hôtel.
"Je voudrais également supplier le gouvernement pour qu`il pense (à) élargir toutes celles et tous ceux qui sont encore privés de liberté en cette fin d`année", a ajouté devant la presse celui qui fut Premier ministre de M. Gbagbo durant la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts.
M. Aké N`Gbo était accompagné de son ex-ministre de l`Economie Désiré Dallo, d`un syndicaliste et d`un journaliste, tout juste libérés comme lui et visiblement en bonne forme.
La justice a annoncé jeudi avoir accordé la liberté provisoire à huit détenus pro-Gbagbo, tous incarcérés après la crise de 2010-2011. Ils sont inculpés de génocide et de crimes de sang pour certains, d`autres uniquement d`atteinte à la sûreté de l`Etat ou d`infractions économiques.
Plusieurs personnalités de l`ancien pouvoir - dont l`ex-Première dame, Simone Gbagbo, et le fils franco-ivoirien de l`ancien président, Michel Gbagbo sont encore en détention. Des dizaines d`autres personnes, des civils et des militaires en poste sous le régime déchu, restent aussi en prison, souvent dans le Nord.
Les dernières libérations doivent participer "à l`apaisement du climat social", a estimé le ministre de la Justice Gnénéma Coulibaly dans le quotidien d`Etat Fraternité-Matin publié samedi, n`excluant pas d`autres libérations.
Les forces de sécurité ont été visées vendredi par deux nouvelles attaques, notamment à Abidjan, qui ont fait au moins un mort et quatre blessés.