Le vendredi 18 Janvier 2013, au moment où, prenant la mesure des critiques et autres prises de position de nombre d’acteurs politiques internationaux - à commencer par le Conseil de Sécurité des Nations-Unies - qui exigent des réformes électorales avant les prochaines élections municipales et régionales, le gouvernement a, enfin, ouvert officiellement le dialogue direct avec le FPI, la Direction du Parti a appris - par voie de presse – l’arrestation et l’extradition ultra-rapide de M. Charles Blé Goudé, ancien ministre du gouvernement Aké N’Gbo et président en exercice du COJEP, qui a été inculpé et placé sous mandat de dépôt, le lundi 21 janvier 2013.
Sans présager nullement de l’issue d’un processus de dialogue dont le monde entier espère qu’il doit permettre aux parties en présence de parvenir à des résolutions consensuelles, en rapport avec la loi fondamentale, le FPI :
- Condamne l’arrestation et l’inculpation du leader du Cojep qui jurent avec les professions de foi de volonté d’aller à la paix et à la réconciliation.
- Soutient que l’acte posé par le régime Ouattara est inutilement contre-productif.
- Exige la libération immédiate de M. Charles Blé Goudé, pour donner davantage de chance au dialogue politique.
En sa qualité de parti ayant exercé le pouvoir d’Etat au nom du peuple de Côte d’Ivoire dans sa diversité ethno-socio-culturelle, le FPI s’interroge sur le sens politique et éthique d’un acte aussi incongru.
C’est pourquoi, le FPI invite alors toutes les bonnes volontés d’Afrique et du monde entier à s’impliquer courageusement dans la recherche d’une solution politique idoine à la crise ivoirienne en s’appuyant sur l’esprit et la lettre de la Résolution 2062 du Conseil de Sécurité de l’ONU, étant entendu que la politique actuelle de répression systématique ne saurait prospérer pour le plus grand bien des Ivoiriens.
Le FPI demande à ses militants et sympathisants de demeurer sereins et mobilisés et de ne pas céder à la panique créée par un contexte de terreur et de dérives autoritaires.
Le FPI, toujours favorable à son principe du « asseyons-nous et discutons », entend aller jusqu’au bout des négociations actuelles, dans l’intérêt bien compris du peuple Ivoirien, de tout le Peuple.
Fait à Abidjan, le 21 janvier 2013
Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole
Dr KODJO Richard
Sans présager nullement de l’issue d’un processus de dialogue dont le monde entier espère qu’il doit permettre aux parties en présence de parvenir à des résolutions consensuelles, en rapport avec la loi fondamentale, le FPI :
- Condamne l’arrestation et l’inculpation du leader du Cojep qui jurent avec les professions de foi de volonté d’aller à la paix et à la réconciliation.
- Soutient que l’acte posé par le régime Ouattara est inutilement contre-productif.
- Exige la libération immédiate de M. Charles Blé Goudé, pour donner davantage de chance au dialogue politique.
En sa qualité de parti ayant exercé le pouvoir d’Etat au nom du peuple de Côte d’Ivoire dans sa diversité ethno-socio-culturelle, le FPI s’interroge sur le sens politique et éthique d’un acte aussi incongru.
C’est pourquoi, le FPI invite alors toutes les bonnes volontés d’Afrique et du monde entier à s’impliquer courageusement dans la recherche d’une solution politique idoine à la crise ivoirienne en s’appuyant sur l’esprit et la lettre de la Résolution 2062 du Conseil de Sécurité de l’ONU, étant entendu que la politique actuelle de répression systématique ne saurait prospérer pour le plus grand bien des Ivoiriens.
Le FPI demande à ses militants et sympathisants de demeurer sereins et mobilisés et de ne pas céder à la panique créée par un contexte de terreur et de dérives autoritaires.
Le FPI, toujours favorable à son principe du « asseyons-nous et discutons », entend aller jusqu’au bout des négociations actuelles, dans l’intérêt bien compris du peuple Ivoirien, de tout le Peuple.
Fait à Abidjan, le 21 janvier 2013
Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole
Dr KODJO Richard