Le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Jean-Louis Billon a décidé de mettre fin aux interventions de l’Office de la commercialisation des produits vivriers (OCPV) sur les routes. A cet effet, un arrêté a été signé dans ce sens. Cette décision mettra fin à l’illégalité des postes de prélèvements effectués sur le circuit des produits vivriers par l’OCPV. Le ministre pousse ainsi une porte déjà ouverte par le gouvernement pour l’amélioration de l’approvisionnement des marchés en produits en vue de lutter contre la cherté de la vie. L’année dernière, le gouvernement avait adopté plusieurs mesures. Entre autres, la lutte contre le racket et la réduction des postes de contrôle sur les routes, la suppression des faux frais sur les coûts de transport des marchandises, le financement du système de transport, dédié aux produits vivriers, des zones de production vers les zones de consommation.
Lors du Forum des affaires franco-ivoirien alors qu’il était président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI-CI), Jean Louis Billon, a, constamment, décrié la lenteur des autorités politiques pour barrer la route au racket, « Il y a des indicateurs internationaux pour évaluer le progrès dans la lutte contre le racket. C’est sur le terrain que nous jugerons », avait-il estimé en octobre dernier. Depuis sa prise de fonction en novembre 2012, il a réitéré ce sacerdoce. « Le Président de la République m’a demandé de veiller à la libre circulation des biens et des personnes sur l’étendue du territoire. Nous allons agir de sorte que les entraves cessent »a-t-il-indiqué. Les prélèvements illicites sur les routes, coûtent à la Côte d’Ivoire une perte annuelle d’environ 350 milliards FCFA, selon le dernier rapport de la Banque Mondiale.
BS
Lors du Forum des affaires franco-ivoirien alors qu’il était président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI-CI), Jean Louis Billon, a, constamment, décrié la lenteur des autorités politiques pour barrer la route au racket, « Il y a des indicateurs internationaux pour évaluer le progrès dans la lutte contre le racket. C’est sur le terrain que nous jugerons », avait-il estimé en octobre dernier. Depuis sa prise de fonction en novembre 2012, il a réitéré ce sacerdoce. « Le Président de la République m’a demandé de veiller à la libre circulation des biens et des personnes sur l’étendue du territoire. Nous allons agir de sorte que les entraves cessent »a-t-il-indiqué. Les prélèvements illicites sur les routes, coûtent à la Côte d’Ivoire une perte annuelle d’environ 350 milliards FCFA, selon le dernier rapport de la Banque Mondiale.
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