Le contexte politique et social qui est le nôtre en côte d'Ivoire, pose un certain nombre de problèmes dont j'aimerais attirer l'attention sur quelque uns.
Au nom du droit pour tous à la vie, le crime ne peut être toléré ni encore moins, encouragé par le silence, ni d'aucune autre façon dont le génie de l'homme humain peut se rendre capable de produire.
Si c'est la vérité que nous voulons ,pour donner toute la justification au sens que nous donnons à la justice à laquelle nous aspirons tous, il y a des choses peut-être anodines que nous ne pouvons oublier.
Je pense en premier au contexte même de la crise, sa naissance, c'est-à-dire les moments où sa réalité s'est consolidée dans la conscience comme une vérité incontournable. Je le dis parce que dans le processus de la conscience humaine, c'est à ce stade de son fonctionnement que la conscience rend l'homme capable d'acte et d'agir.
Au nom de l'honnêteté intellectuelle et de la soif de vérité, qui d'entre nous avait l'aptitude à statuer et discerner dans ce flou généralisé et entretenu par des hommes à qui il est difficile de donner des visages, la vérité authentique qui seule pouvait être un frein à tout ce que nous regrettons tous aujourd'hui.
D'oublier cette crise de vérité, c'est-à-dire ce que les uns et les autres, par des manières dont ils possèdent seuls les secrets, ont réussi à faire croire au peuple pour le diviser, le fracturer.
Le fait est que, pour qu'une crise comme celle que nous connaissons puisse survenir, ceux qui la souhaitent ne pouvaient qu'exacerber les faiblesses du peuple. Par faiblesse, je pense à la jeunesse même du pays. En effet, 50 ans d'indépendance fêtée même pendant la crise, l'unité d'un pays jeune en construction. On peut garder en mémoire par analogie, l'enfant Côte d'Ivoire qu'on empêche de grandir.
Je prends le risque de penser que le crime de ceux qui seront reconnus coupables de crimes, c'est celui d'avoir cru en des mensonges. Et n'oublions pas, à des mensonges tellement bien conçus qu'il est était difficile hier et même aujourd'hui encore, de remettre en cause.
A la rencontre de la vérité authentique, il ne peut naître dans le cœur de l'homme, qu'un seul sentiment; celui du regret. Mais notre loi constitutionnelle connaît-elle le regret 7, c'est-à-dire que même la vérité vraie ne pourra sauver le coupable. Et cela non pas parce qu'elle est incapable par essence, mais seulement parce qu'on ne lui fera pas appel.
C'est la raison pour laquelle je dis qu'il est l'heure de faire comme Dieu, qui sauve par la repentance, au lieu de condamner à cause de la repentance. C'est ici le lieu d'interpeller les croyants.
D'abord les musulmans, pour rappeler la parole de celui que le coran reconnaît comme un prophète de Dieu et le chrétien comme sauveur. Il s'agit de Jésus, quand il dit: « seule la vérité rend libre ».
Je ne justifie nullement pas le crime, je dis seulement que nous ne pouvons occulter celui ou ceux qui ont conditionné leur semblable à le commettre. Il est l'heure de faire comme Dieu, pour se donner le moyen de le rendre réel dans notre propre existence. Les victimes elles-mêmes, ont besoin de faire miséricorde. Je parle donc de la foi et de l'existence que j'explique dans le mensuel
« PARTAGE », pour une expérience de vie véritable de l'institution Saint Vincent de Paul, ami des pauvres.
Au nom du droit pour tous à la vie, le crime ne peut être toléré ni encore moins, encouragé par le silence, ni d'aucune autre façon dont le génie de l'homme humain peut se rendre capable de produire.
Si c'est la vérité que nous voulons ,pour donner toute la justification au sens que nous donnons à la justice à laquelle nous aspirons tous, il y a des choses peut-être anodines que nous ne pouvons oublier.
Je pense en premier au contexte même de la crise, sa naissance, c'est-à-dire les moments où sa réalité s'est consolidée dans la conscience comme une vérité incontournable. Je le dis parce que dans le processus de la conscience humaine, c'est à ce stade de son fonctionnement que la conscience rend l'homme capable d'acte et d'agir.
Au nom de l'honnêteté intellectuelle et de la soif de vérité, qui d'entre nous avait l'aptitude à statuer et discerner dans ce flou généralisé et entretenu par des hommes à qui il est difficile de donner des visages, la vérité authentique qui seule pouvait être un frein à tout ce que nous regrettons tous aujourd'hui.
D'oublier cette crise de vérité, c'est-à-dire ce que les uns et les autres, par des manières dont ils possèdent seuls les secrets, ont réussi à faire croire au peuple pour le diviser, le fracturer.
Le fait est que, pour qu'une crise comme celle que nous connaissons puisse survenir, ceux qui la souhaitent ne pouvaient qu'exacerber les faiblesses du peuple. Par faiblesse, je pense à la jeunesse même du pays. En effet, 50 ans d'indépendance fêtée même pendant la crise, l'unité d'un pays jeune en construction. On peut garder en mémoire par analogie, l'enfant Côte d'Ivoire qu'on empêche de grandir.
Je prends le risque de penser que le crime de ceux qui seront reconnus coupables de crimes, c'est celui d'avoir cru en des mensonges. Et n'oublions pas, à des mensonges tellement bien conçus qu'il est était difficile hier et même aujourd'hui encore, de remettre en cause.
A la rencontre de la vérité authentique, il ne peut naître dans le cœur de l'homme, qu'un seul sentiment; celui du regret. Mais notre loi constitutionnelle connaît-elle le regret 7, c'est-à-dire que même la vérité vraie ne pourra sauver le coupable. Et cela non pas parce qu'elle est incapable par essence, mais seulement parce qu'on ne lui fera pas appel.
C'est la raison pour laquelle je dis qu'il est l'heure de faire comme Dieu, qui sauve par la repentance, au lieu de condamner à cause de la repentance. C'est ici le lieu d'interpeller les croyants.
D'abord les musulmans, pour rappeler la parole de celui que le coran reconnaît comme un prophète de Dieu et le chrétien comme sauveur. Il s'agit de Jésus, quand il dit: « seule la vérité rend libre ».
Je ne justifie nullement pas le crime, je dis seulement que nous ne pouvons occulter celui ou ceux qui ont conditionné leur semblable à le commettre. Il est l'heure de faire comme Dieu, pour se donner le moyen de le rendre réel dans notre propre existence. Les victimes elles-mêmes, ont besoin de faire miséricorde. Je parle donc de la foi et de l'existence que j'explique dans le mensuel
« PARTAGE », pour une expérience de vie véritable de l'institution Saint Vincent de Paul, ami des pauvres.