Soubré, Le barrage de Soubré dont le lancement des travaux a été fait lundi par le président Alassane Ouattara, sera concrétisé dans un délai de 56 mois, en tenant compte de l’étude d’impact environnemental et social, a appris l’AIP de source officielle.
Le projet d’aménagement d’hydroélectrique de Soubré, chef-lieu de la région de la Nawa, va se dérouler en trois phases.
La première va consister en la construction des cités des cadres et des ouvriers parallèlement à l’étude du projet d’impact environnemental et social qui va s’étaler sur une période de 15 mois, à compter de la date de la pose de la première pierre.
La seconde étape concerne le déguerpissement des populations des villages situés dans l’entremise du site du barrage. Il s’agit principalement des villages de Copéragui et de Niamagui, de la tribu des Bakoué, et d’une dizaine de campements rattachés.
La troisième phase concernera la construction effective du barrage et va engendrer la création de 3.000 à 5.000 emplois sur une durée de cinq ans, a détaillé la société des énergies de Côte d’Ivoire, maitre d’œuvre du projet vieux de 51 ans.
Relancé en 2011 par le président Alassane Ouattara, le futur barrage de Soubré, sur le fleuve Sassandra, aura une puissance installée de 275 Mégawatts et une production annuelle pouvant aller jusqu’à 1.100 Gigawatts/heure.
Cette énergie va être transportée grâce à la réalisation d’un réseau d’évacuation d’énergie comprenant une ligne de haute tension de 225 KV sur une distance de 365 km, reliant Soubré et le poste de Yopougon 2, avec des aménagements et extensions dans les postes de Soubré, Taabo et Yopougon 2.
L’entreprise chinoise Sinohydro a la charge de la construction du barrage dont le coût global est estimé à 331 milliards de FCFA dont 281 milliards pour la construction du barrage et des cités, et 50 milliards pour les mesures environnementales et sociales.
Sur les 331 milliards, l’Etat de Côte d’Ivoire contribue à hauteur de 92 milliards de FCFA et la banque Eximbank Chine y contribue à hauteur de 281 milliards de FCFA.
(AIP)
Jmk/km/kp
Le projet d’aménagement d’hydroélectrique de Soubré, chef-lieu de la région de la Nawa, va se dérouler en trois phases.
La première va consister en la construction des cités des cadres et des ouvriers parallèlement à l’étude du projet d’impact environnemental et social qui va s’étaler sur une période de 15 mois, à compter de la date de la pose de la première pierre.
La seconde étape concerne le déguerpissement des populations des villages situés dans l’entremise du site du barrage. Il s’agit principalement des villages de Copéragui et de Niamagui, de la tribu des Bakoué, et d’une dizaine de campements rattachés.
La troisième phase concernera la construction effective du barrage et va engendrer la création de 3.000 à 5.000 emplois sur une durée de cinq ans, a détaillé la société des énergies de Côte d’Ivoire, maitre d’œuvre du projet vieux de 51 ans.
Relancé en 2011 par le président Alassane Ouattara, le futur barrage de Soubré, sur le fleuve Sassandra, aura une puissance installée de 275 Mégawatts et une production annuelle pouvant aller jusqu’à 1.100 Gigawatts/heure.
Cette énergie va être transportée grâce à la réalisation d’un réseau d’évacuation d’énergie comprenant une ligne de haute tension de 225 KV sur une distance de 365 km, reliant Soubré et le poste de Yopougon 2, avec des aménagements et extensions dans les postes de Soubré, Taabo et Yopougon 2.
L’entreprise chinoise Sinohydro a la charge de la construction du barrage dont le coût global est estimé à 331 milliards de FCFA dont 281 milliards pour la construction du barrage et des cités, et 50 milliards pour les mesures environnementales et sociales.
Sur les 331 milliards, l’Etat de Côte d’Ivoire contribue à hauteur de 92 milliards de FCFA et la banque Eximbank Chine y contribue à hauteur de 281 milliards de FCFA.
(AIP)
Jmk/km/kp