Présent à Abidjan depuis trois jours, Gabriel Ayite Baglo, directeur pour l’Afrique de la FIJ (Fédération internationale des journalistes) participera à une réunion de l’UNESCO sur le développement durable. En visite de courtoisie à la rédaction de l’Intelligent d’Abidjan, le président du Bureau Afrique de FIJ se réjouit de la libération du correspondant de RFI au Burundi.
« Je suis très heureux de cette information. Nous avons été régulièrement à Bujumbura (capitale du Burundi), nous avons été à la prison de Gitréga. Nous avons soutenu notre confrère Hassan Ruvakuki. Nous avons produit beaucoup de déclarations. Le mardi 3 mars dernier, nous avons produit une déclaration parce que nos confrères du Burundi faisaient des manifestations chaque mardi pour sa libération. Je suis heureuse d’apprendre cette information dans la rédaction de l’Intelligent d’Abidjan. Dans les jours qui vont suivre, nous produirons une déclaration pour saluer cette libération et demander aux autorités burundaises de continuer à travailler avec la presse. Parce qu’elles ont besoin de la presse pour consolider la démocratie. Les journalistes ne sont pas des opposants. Ils ont pour rôle de surveiller les activités de tout le monde. Et Hassan Ruvakuki n’avait pas tort d’interviewer un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un rebelle qu’on est aussi un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un opposant rebelle qu’on est un rebelle » a dit Gabriel Ayite Baglo qui était à la rédaction de l’IA en compagnie du président de l’UNJCI, Moussa Traoré..
Patrick Krou
« Je suis très heureux de cette information. Nous avons été régulièrement à Bujumbura (capitale du Burundi), nous avons été à la prison de Gitréga. Nous avons soutenu notre confrère Hassan Ruvakuki. Nous avons produit beaucoup de déclarations. Le mardi 3 mars dernier, nous avons produit une déclaration parce que nos confrères du Burundi faisaient des manifestations chaque mardi pour sa libération. Je suis heureuse d’apprendre cette information dans la rédaction de l’Intelligent d’Abidjan. Dans les jours qui vont suivre, nous produirons une déclaration pour saluer cette libération et demander aux autorités burundaises de continuer à travailler avec la presse. Parce qu’elles ont besoin de la presse pour consolider la démocratie. Les journalistes ne sont pas des opposants. Ils ont pour rôle de surveiller les activités de tout le monde. Et Hassan Ruvakuki n’avait pas tort d’interviewer un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un rebelle qu’on est aussi un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un opposant rebelle qu’on est un rebelle » a dit Gabriel Ayite Baglo qui était à la rédaction de l’IA en compagnie du président de l’UNJCI, Moussa Traoré..
Patrick Krou