La Fédération des Organisations Patronales de l’Afrique de l’Ouest (FOPAO), s’est réunie en Assemblée Générale Extraordinaire à Abidjan les 4 et 5 mars 2013. La première journée de travail, le lundi 4 mars 2013 a permis aux experts de s’approprier le plan stratégique de la Fédération qui a été validé lors de la dernière Assemblée Générale Ordinaire (AGO) tenue à Lomé les 8 et 9 Janvier 2013.
La réunion des experts a ensuite examiné les deux points inscrits à l’ordre du jour de l’Assemblée Générale Extraordinaire, a savoir la modification de la durée du mandat du Président et du Bureau Exécutif et les cotisations. Quant à la réunion du Bureau Exécutif, elle a permis à ses membres d’examiner le rapport de la réunion des experts et des points inscrits à leur ordre du jour.
L’AGE qui s’est poursuivi le mardi 5 mars 2013 a consacré l’appropriation du plan stratégique de la fédération par les présidents des organisations des 16 pays membres à travers une présentation qui a retracé les axes de développement de la FOPAO pour les années avenir.
Ainsi, la Fopao, selon les vœux hautement exprimés par son président M. Jean Kacou DIAGOU, doit être un instrument de développement régional. Elle se doit d’être une force de proposition pour l’amélioration de l’environnement des affaires dans la région. Pour ce faire, le Président DIAGOU demande des patronats nationaux forts, capables de susciter des entreprises fortes. « Il faut des entreprises championnes régionales capables de rivaliser avec les multinationales qui viennent investir chez nous, nous devons arrêter de pleurnicher et relever le défis de la concurrence internationale ». A-t-il martelé.
Le plan stratégique se décline en 14 axes dont le premier consiste à faire des patronats nationaux respectifs, les interlocuteurs privilégiés des gouvernements. Ensuite, la FOPAO se doit d’apporter un appui technique à ses membres. L’un des points clés de ce plan est la gestion de la bourse des compétences régionales qui regroupera l’ensemble des experts dans tous les domaines, de la sous-région pour en faire un pôle de compétences disponibles et facile d’accès. Aussi, est-il indispensable de prendre en compte la gestion de la bourse des affaires (380 projets bancables en attentes) et surtout trouver des financements pour ces projets à travers des partenariats avec, entre autres la CEDEAO, l’UEMOA, etc. L’image institutionnelle doit être améliorée tout en réussissant l’intégration régionale pour les 600 millions d’habitants que compte la CEDEAO.
Source : Service de Communication
La réunion des experts a ensuite examiné les deux points inscrits à l’ordre du jour de l’Assemblée Générale Extraordinaire, a savoir la modification de la durée du mandat du Président et du Bureau Exécutif et les cotisations. Quant à la réunion du Bureau Exécutif, elle a permis à ses membres d’examiner le rapport de la réunion des experts et des points inscrits à leur ordre du jour.
L’AGE qui s’est poursuivi le mardi 5 mars 2013 a consacré l’appropriation du plan stratégique de la fédération par les présidents des organisations des 16 pays membres à travers une présentation qui a retracé les axes de développement de la FOPAO pour les années avenir.
Ainsi, la Fopao, selon les vœux hautement exprimés par son président M. Jean Kacou DIAGOU, doit être un instrument de développement régional. Elle se doit d’être une force de proposition pour l’amélioration de l’environnement des affaires dans la région. Pour ce faire, le Président DIAGOU demande des patronats nationaux forts, capables de susciter des entreprises fortes. « Il faut des entreprises championnes régionales capables de rivaliser avec les multinationales qui viennent investir chez nous, nous devons arrêter de pleurnicher et relever le défis de la concurrence internationale ». A-t-il martelé.
Le plan stratégique se décline en 14 axes dont le premier consiste à faire des patronats nationaux respectifs, les interlocuteurs privilégiés des gouvernements. Ensuite, la FOPAO se doit d’apporter un appui technique à ses membres. L’un des points clés de ce plan est la gestion de la bourse des compétences régionales qui regroupera l’ensemble des experts dans tous les domaines, de la sous-région pour en faire un pôle de compétences disponibles et facile d’accès. Aussi, est-il indispensable de prendre en compte la gestion de la bourse des affaires (380 projets bancables en attentes) et surtout trouver des financements pour ces projets à travers des partenariats avec, entre autres la CEDEAO, l’UEMOA, etc. L’image institutionnelle doit être améliorée tout en réussissant l’intégration régionale pour les 600 millions d’habitants que compte la CEDEAO.
Source : Service de Communication
