Bouaké -Quelque 60 femmes, venues de toutes les localités du pays, ont échangé, samedi à Bouaké, sur leurs expériences en matière de réconciliation et pris l’engagement de faire aboutir le processus en cours pour une vraie réconciliation en Côte d’Ivoire.
La rencontre d’échanges organisée par l’ONG "Search for common ground" (SFCG) a permis aux membres des Ong féminines de Daloa, Duékoué, Tabou et de Bouaké d’entonner en chœur le cantique de la promotion de la réconciliation et de l’égalité du genre en présence du directeur pays de SFCG, Quentin Kanyatsi, et des autorités administratives de Bouaké.
"La réconciliation doit passer par nous, les femmes. Parlons à nos maris, parlons à nos enfants", s’est adressée Mme Tata Tapsoba de l’Ong Téré à ses consoeurs.
Elle a été suivie par Mme N’da Alice de la coopérative des commerçantes de vivriers de Daloa, Mlle Sédé Yvonne de l’Ong "Bamoula Ayiyèlè" (si je savais, en langue locale) de Tabou et Mme Mah Elisabeth de la coalition des femmes leaders contre la violence faite aux femmes qui ont accepté d’être des apôtres de la paix et de l’égalité du genre.
Le directeur pays de l’ONG SFCG, affirmant que c’est la femme qui donne la vie et qui la protège, s’est dit convaincu qu’avec l’engagement des femmes, la Côte d’Ivoire peut être réconciliée et donner l’espoir aux générations futures.
Ce projet est le premier d’une caravane d’échanges entre les femmes ivoiriennes sur la réconciliation. Son objectif, selon les organisateurs, est d’appuyer le processus de réconciliation en cours et de rapprocher tous les fils et filles du pays après la crise postélectorale qui a fait officiellement 3.000 morts et des meurtrissures au sein des différentes communautés.
La rencontre d’échanges de Bouaké a été marquée par une prestation théâtrale sur la paix et la cohésion sociale. Elle s’est achevée par une visite au centre social de Bouaké et à la Division des droits de l’homme de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) basée dans la capitale de la paix.
(AIP)
Nam/kp
La rencontre d’échanges organisée par l’ONG "Search for common ground" (SFCG) a permis aux membres des Ong féminines de Daloa, Duékoué, Tabou et de Bouaké d’entonner en chœur le cantique de la promotion de la réconciliation et de l’égalité du genre en présence du directeur pays de SFCG, Quentin Kanyatsi, et des autorités administratives de Bouaké.
"La réconciliation doit passer par nous, les femmes. Parlons à nos maris, parlons à nos enfants", s’est adressée Mme Tata Tapsoba de l’Ong Téré à ses consoeurs.
Elle a été suivie par Mme N’da Alice de la coopérative des commerçantes de vivriers de Daloa, Mlle Sédé Yvonne de l’Ong "Bamoula Ayiyèlè" (si je savais, en langue locale) de Tabou et Mme Mah Elisabeth de la coalition des femmes leaders contre la violence faite aux femmes qui ont accepté d’être des apôtres de la paix et de l’égalité du genre.
Le directeur pays de l’ONG SFCG, affirmant que c’est la femme qui donne la vie et qui la protège, s’est dit convaincu qu’avec l’engagement des femmes, la Côte d’Ivoire peut être réconciliée et donner l’espoir aux générations futures.
Ce projet est le premier d’une caravane d’échanges entre les femmes ivoiriennes sur la réconciliation. Son objectif, selon les organisateurs, est d’appuyer le processus de réconciliation en cours et de rapprocher tous les fils et filles du pays après la crise postélectorale qui a fait officiellement 3.000 morts et des meurtrissures au sein des différentes communautés.
La rencontre d’échanges de Bouaké a été marquée par une prestation théâtrale sur la paix et la cohésion sociale. Elle s’est achevée par une visite au centre social de Bouaké et à la Division des droits de l’homme de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) basée dans la capitale de la paix.
(AIP)
Nam/kp
