De réunions en réunions, de déclarations d’intention aux promesses de tout genre, les chefs d’Etats de la CDEAO ne font qu’ajourner l’intervention des troupes de leurs pays au Mali, depuis l’offensive militaire de l’armée française du 11janvier.
Sans arrêt, ils continuent de conditionner leurs engagements aux décaissements des neuf-cents millions d’euros nécessaires à l’opération. Que des Français se fassent, de temps à autre, canarder par les djihadistes fondus dans le massif des Iphoras, que les Tchadiens soient, par dizaines, fauchés par les snipers fanatisés, les dirigeants africains jouent aux spectateurs compatissants, égrenant à l’occasion des larmes émues sur les cadavres des soldats qui s’amoncellent. Ils attendent, avant d’aller soutenir... suite de l'article sur
Sans arrêt, ils continuent de conditionner leurs engagements aux décaissements des neuf-cents millions d’euros nécessaires à l’opération. Que des Français se fassent, de temps à autre, canarder par les djihadistes fondus dans le massif des Iphoras, que les Tchadiens soient, par dizaines, fauchés par les snipers fanatisés, les dirigeants africains jouent aux spectateurs compatissants, égrenant à l’occasion des larmes émues sur les cadavres des soldats qui s’amoncellent. Ils attendent, avant d’aller soutenir... suite de l'article sur