Abidjan (Côte d’Ivoire) - Des combattants Djihadistes dont l’objectif est de s’attaquer aux intérêts des occidentaux en Afrique, ont été arrêtés à Abidjan par la Force de recherche d’action de la police ivoirienne (FRAP), a révélé jeudile ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko.
Selon le ministre d'Etat, Hamed Bakayoko qui s'exprimait à Abidjan lors d'une séance de travail avec une délégation française de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), des ‘'individus interpellés à Abidjan par la Force de recherche d'action de la police (FRAP) ont avoué que leur objectif est de s'attaquer aux intérêts des occidentaux en Afrique''.
L'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), de la France a entamé jeudi une visite d'étude en Côte d'Ivoire autour du thème spécifique ‘'le processus de reconstruction et le retour à la sécurité ainsi que le nouveau rôle régional de la Côte d'Ivoire au sein de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO)''.
Selon le Ministre Hamed Bagayoko, qui parlait en présence du Premier Ministre, Daniel Kablan Duncan, ‘'c'est grâce à une vigilance accrue des forces armées ivoiriennes que cette interpellation a été réalisée''.
‘' Les pays de la sous région ont besoin du soutien dans le cadre de la lutte contre le terrorisme'', a-t-il ajouté sans révéler le nombre exact des individus interpellés, ni leur nationalité.
La capitale économique ivoirienne abrite plus de 30.000 français et européens exerçant dans la diplomatie, l'industrie et autres secteurs.
La délégation de l'IHEDN, conduite par son directeur, le Général de corps d'armée Jean-Marc Duquesne, planchera au cours de son séjour ivoirien sur le thème général ‘'le continent africain entre enjeux de développement, défis de sécurité et intérêts français et européens''.
La prudence a été de mise depuis le début des frappes de l'armée française au Nord du Mali. Le Chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara reçu jeudi à l'Elysée par son homologue français, François Hollande, a en sa qualité de président en exercice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) demandé des ‘'situations atténuantes'' pour cette crise malienne.
Il a également sollicité que l'opération française Licorne présente en Côte d'Ivoire forme à Abidjan les soldats des pays africains qui seront déployés sur le territoire malien dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA).
Depuis l'intervention de l'armée française au Nord du Mali, une rumeur persistante annonçait la présence discrète d'éléments djihadistes à Abidjan où les autorités avaient déjà ‘'redoublé de vigilance''.
Ils arrivaient en petits groupes habillés décemment et rasés comme ‘'Monsieur tout le monde'' pour tromper la vigilance des militaires ivoiriens, explique un expert en sécurité sous le couvert de l'anonymat.
Des mercenaires recrutés en Côte d'Ivoire pour appuyer la rébellion du Nord du Mali, se seraient repliés sur Abidjan avec le ‘'nettoyage'' de cette partie du pays par l'opération française Serval qui a par ailleurs entamé cette semaine le retrait progressif de ses soldats du territoire malien.
Quelques cent soldats français ont symboliquement quitté cette semaine le sol malien sur les quatre mille déployés.
Selon le ministre d'Etat, Hamed Bakayoko qui s'exprimait à Abidjan lors d'une séance de travail avec une délégation française de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), des ‘'individus interpellés à Abidjan par la Force de recherche d'action de la police (FRAP) ont avoué que leur objectif est de s'attaquer aux intérêts des occidentaux en Afrique''.
L'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), de la France a entamé jeudi une visite d'étude en Côte d'Ivoire autour du thème spécifique ‘'le processus de reconstruction et le retour à la sécurité ainsi que le nouveau rôle régional de la Côte d'Ivoire au sein de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO)''.
Selon le Ministre Hamed Bagayoko, qui parlait en présence du Premier Ministre, Daniel Kablan Duncan, ‘'c'est grâce à une vigilance accrue des forces armées ivoiriennes que cette interpellation a été réalisée''.
‘' Les pays de la sous région ont besoin du soutien dans le cadre de la lutte contre le terrorisme'', a-t-il ajouté sans révéler le nombre exact des individus interpellés, ni leur nationalité.
La capitale économique ivoirienne abrite plus de 30.000 français et européens exerçant dans la diplomatie, l'industrie et autres secteurs.
La délégation de l'IHEDN, conduite par son directeur, le Général de corps d'armée Jean-Marc Duquesne, planchera au cours de son séjour ivoirien sur le thème général ‘'le continent africain entre enjeux de développement, défis de sécurité et intérêts français et européens''.
La prudence a été de mise depuis le début des frappes de l'armée française au Nord du Mali. Le Chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara reçu jeudi à l'Elysée par son homologue français, François Hollande, a en sa qualité de président en exercice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) demandé des ‘'situations atténuantes'' pour cette crise malienne.
Il a également sollicité que l'opération française Licorne présente en Côte d'Ivoire forme à Abidjan les soldats des pays africains qui seront déployés sur le territoire malien dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA).
Depuis l'intervention de l'armée française au Nord du Mali, une rumeur persistante annonçait la présence discrète d'éléments djihadistes à Abidjan où les autorités avaient déjà ‘'redoublé de vigilance''.
Ils arrivaient en petits groupes habillés décemment et rasés comme ‘'Monsieur tout le monde'' pour tromper la vigilance des militaires ivoiriens, explique un expert en sécurité sous le couvert de l'anonymat.
Des mercenaires recrutés en Côte d'Ivoire pour appuyer la rébellion du Nord du Mali, se seraient repliés sur Abidjan avec le ‘'nettoyage'' de cette partie du pays par l'opération française Serval qui a par ailleurs entamé cette semaine le retrait progressif de ses soldats du territoire malien.
Quelques cent soldats français ont symboliquement quitté cette semaine le sol malien sur les quatre mille déployés.