Daloa - Vingt producteurs relais issus du secteur cacao ont été formés les 15 et 16 avril, sur l’itinéraire technique du maïs, dans le cadre de la diversification des cultures, en vue d’améliorer les conditions de vie des planteurs et assurer en même temps la sécurité alimentaire.
La formation s’inscrit dans le cadre du projet pilote, d’économie cacaoyère durable, initié par la Coopération Internationale allemande (GIZ), en partenariat avec l’Union Nationale des Coopec de Côte d’Ivoire (UNACOOPEC-CI).
Elle visait à donner aux producteurs relais, appelés à former d’autres paysans, les connaissances techniques pour conduire leurs parcelles de culture de maïs. Ce, pour améliorer le rendement à l’hectare et booster la production du maïs, conformément à la stratégie de l’Etat ivoirien de développer la culture du maïs afin de passer de 600.000 tonnes à une production annuelle de 1 600.000 tonnes à l’horizon 2015.
Permettre au producteur de cacao d’augmenter ses revenus, non seulement par le cacao, mais par d’autres cultures hautement rentables comme le maïs qui peuvent lui apporter un mieux-être en période de soudure, est le but du projet qui devrait être vulgarisé dans toute la Côte d’Ivoire en cas de succès, selon M. M’bo Yapi Jean Baptiste, conseiller technique à la Coopération Internationale allemande.
Les participants venus des localitéproducteurs s de Daloa, Bonon et Bouaflé ont appris avec le formateur de l’ANADER, outre les techniques culturales du maïs, les maladies ennemies, la lutte contre les insectes nuisibles, la fertilisation des sols, la gestion des récoltes etc. afin de dupliquer la formation reçue à d’autres paysans, pour plus de professionnalisme dans leurs activités.
La formation s’inscrit dans le cadre du projet pilote, d’économie cacaoyère durable, initié par la Coopération Internationale allemande (GIZ), en partenariat avec l’Union Nationale des Coopec de Côte d’Ivoire (UNACOOPEC-CI).
Elle visait à donner aux producteurs relais, appelés à former d’autres paysans, les connaissances techniques pour conduire leurs parcelles de culture de maïs. Ce, pour améliorer le rendement à l’hectare et booster la production du maïs, conformément à la stratégie de l’Etat ivoirien de développer la culture du maïs afin de passer de 600.000 tonnes à une production annuelle de 1 600.000 tonnes à l’horizon 2015.
Permettre au producteur de cacao d’augmenter ses revenus, non seulement par le cacao, mais par d’autres cultures hautement rentables comme le maïs qui peuvent lui apporter un mieux-être en période de soudure, est le but du projet qui devrait être vulgarisé dans toute la Côte d’Ivoire en cas de succès, selon M. M’bo Yapi Jean Baptiste, conseiller technique à la Coopération Internationale allemande.
Les participants venus des localitéproducteurs s de Daloa, Bonon et Bouaflé ont appris avec le formateur de l’ANADER, outre les techniques culturales du maïs, les maladies ennemies, la lutte contre les insectes nuisibles, la fertilisation des sols, la gestion des récoltes etc. afin de dupliquer la formation reçue à d’autres paysans, pour plus de professionnalisme dans leurs activités.