ABIDJAN - Les militaires ivoiriens en attente d'être déployés au Mali ont entamé mardi à Abidjan une formation sur les droits de l'homme, la protection des civils et le droit humanitaire international.
Au total 235 officiers, sous-officiers et soldats du rang des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) participent à la formation assurée par l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
"Il s'agit de faire en sorte que dans l'action que mènent les militaires, les droits de l'homme soient respectés", a indiqué le responsable de la Division des droits de l'homme de l'Onuci, Eugène Nindorera, à l'ouverture de la formation.
"Le respect des droits de l'homme reste un impératif pour le personnel d'une opération de maintien de la paix, qu'il soit civil, policier ou militaire", a-t-il dit soulignant qu'il est important de leur rappeler que "des règles existent même en temps de conflits".
Selon M. Nindorera, les troupes ivoiriennes seront confrontées sur le terrain à ces "défis inhérents à toute mission de maintien de paix" et il s'avère nécessaire de leur donner "les outils pour y faire efficacement face".
L'armée ivoirienne sera bientôt à Bamako, dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma).
Les 235 militaires ivoiriens, tous grades confondus, vont composer un bataillon logistique d'appui aux forces africaines et françaises qui combattent les groupes armés islamistes dans le Nord-Mali.
Ils étaient en préparation depuis le 6 avril à Lomo-Nord (Toumodi, centre, à 200 km d'Abidjan) dans le cadre d'une formation assurée par la force française Licorne et destinée à les mettre en situation proche du théâtre malien.
Au total 235 officiers, sous-officiers et soldats du rang des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) participent à la formation assurée par l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
"Il s'agit de faire en sorte que dans l'action que mènent les militaires, les droits de l'homme soient respectés", a indiqué le responsable de la Division des droits de l'homme de l'Onuci, Eugène Nindorera, à l'ouverture de la formation.
"Le respect des droits de l'homme reste un impératif pour le personnel d'une opération de maintien de la paix, qu'il soit civil, policier ou militaire", a-t-il dit soulignant qu'il est important de leur rappeler que "des règles existent même en temps de conflits".
Selon M. Nindorera, les troupes ivoiriennes seront confrontées sur le terrain à ces "défis inhérents à toute mission de maintien de paix" et il s'avère nécessaire de leur donner "les outils pour y faire efficacement face".
L'armée ivoirienne sera bientôt à Bamako, dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma).
Les 235 militaires ivoiriens, tous grades confondus, vont composer un bataillon logistique d'appui aux forces africaines et françaises qui combattent les groupes armés islamistes dans le Nord-Mali.
Ils étaient en préparation depuis le 6 avril à Lomo-Nord (Toumodi, centre, à 200 km d'Abidjan) dans le cadre d'une formation assurée par la force française Licorne et destinée à les mettre en situation proche du théâtre malien.