Promouvoir l’éthique dans la société et mener des actions afin que les préoccupations éthiques soient inscrites au niveau de l’agenda culturel, social, économique et politique. C’est la mission que s’est assignée le Ripes (Réseau ivoirien pour la promotion de l’éthique dans la société).
Promouvoir massivement l’éthique (une réflexion sur les comportements à adopter pour rendre le monde harmonieux et respectueux des valeurs humaines), faire un plaidoyer pour l’instauration de chartes d’éthique dans les statuts d’entreprises et ONG en Côte d’Ivoire et la dotation d’un centre d’édition. Tels sont les objectifs que s’est fixé le RIPES (Réseau ivoirien pour la promotion de l’éthique dans la société) pour emmener l’Afrique en général et la Côte d’Ivoire en particulier, aux valeurs qui les caractérisent. Lors du lancement de son projet d’actions récemment, ce réseau a été présenté au public ivoirien à travers une Assemblée générale animée au CERAP à Cocody. Pour atteindre ces objectifs, ledit réseau a mis en œuvre une stratégie. Il s’agit de communiquer afin de faire prendre conscience aux jeunes, femmes et cadres décideurs de demain, du réarmement mental urgent et de concevoir le respect de l’éthique non plus comme une grâce divine, mais comme l’aboutissement heureux de contraintes et efforts permanents de réflexion et de travail à travers des ateliers mensuels de formation et d’approfondissement. Pour Célestin Gnonzion, président de ce réseau, la promotion de l’éthique, telle que voulue par le gouvernement, est une nécessité urgente et absolue. ‘’Nous y arriverons puisque nous avons la volonté et la grande motivation de la faire car, nous croyons que l’éthique peut être une réponse aux mots qui minent les sociétés africaines au niveau économique, politique, culturel et social’’, a indiqué le Dr Gnonzion. Notons que les programmes mis sur pied par le Ripes dans le déroulement effectif de ses activités sont caractérisés par la formation, des conférences, l’instauration d’une université RIPES, des séminaires, la recherche, la publication et l’attribution de diplôme du citoyen éthique à des personnes qui se seront fait remarquer comme des modèles d’éthique dans leur milieu. Tout moyen qui permettra de construire une seule Afrique prospère et unie. Rappelons que l’idée de la mise en place de ce réseau est intervenue le 21 septembre 2012 à l’occasion de la Journée internationale sur l’éthique. Un appel est donc lancé à toute la population et aux autorités, afin de contribuer à faire du RIPES, un réseau fiable, viable et durable.
M.G
Promouvoir massivement l’éthique (une réflexion sur les comportements à adopter pour rendre le monde harmonieux et respectueux des valeurs humaines), faire un plaidoyer pour l’instauration de chartes d’éthique dans les statuts d’entreprises et ONG en Côte d’Ivoire et la dotation d’un centre d’édition. Tels sont les objectifs que s’est fixé le RIPES (Réseau ivoirien pour la promotion de l’éthique dans la société) pour emmener l’Afrique en général et la Côte d’Ivoire en particulier, aux valeurs qui les caractérisent. Lors du lancement de son projet d’actions récemment, ce réseau a été présenté au public ivoirien à travers une Assemblée générale animée au CERAP à Cocody. Pour atteindre ces objectifs, ledit réseau a mis en œuvre une stratégie. Il s’agit de communiquer afin de faire prendre conscience aux jeunes, femmes et cadres décideurs de demain, du réarmement mental urgent et de concevoir le respect de l’éthique non plus comme une grâce divine, mais comme l’aboutissement heureux de contraintes et efforts permanents de réflexion et de travail à travers des ateliers mensuels de formation et d’approfondissement. Pour Célestin Gnonzion, président de ce réseau, la promotion de l’éthique, telle que voulue par le gouvernement, est une nécessité urgente et absolue. ‘’Nous y arriverons puisque nous avons la volonté et la grande motivation de la faire car, nous croyons que l’éthique peut être une réponse aux mots qui minent les sociétés africaines au niveau économique, politique, culturel et social’’, a indiqué le Dr Gnonzion. Notons que les programmes mis sur pied par le Ripes dans le déroulement effectif de ses activités sont caractérisés par la formation, des conférences, l’instauration d’une université RIPES, des séminaires, la recherche, la publication et l’attribution de diplôme du citoyen éthique à des personnes qui se seront fait remarquer comme des modèles d’éthique dans leur milieu. Tout moyen qui permettra de construire une seule Afrique prospère et unie. Rappelons que l’idée de la mise en place de ce réseau est intervenue le 21 septembre 2012 à l’occasion de la Journée internationale sur l’éthique. Un appel est donc lancé à toute la population et aux autorités, afin de contribuer à faire du RIPES, un réseau fiable, viable et durable.
M.G