Alors même qu’il est tout dédié à sa mission de conduire la commission qui doit œuvrer à la réconciliation nationale, le Premier Ministre Charles Konan BANNY se retrouve au centre de préoccupations politiciennes dont une partie de la presse s’est fait l’écho, et qui sont loin de ses réflexions actuelles.
L’occasion pour certains semble belle et se présente sur une double facettes.
Premièrement, son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République en fonction a exprimé sa volonté d’être candidat en 2015. L’on pense qu’il faut lui trouver aussitôt un adversaire de taille.
Deuxièmement, le président du PDCI, Monsieur Henri Konan BEDIE annonce deux prochaines réunions des instances de ce grand parti en vue de la tenue d’un congrès. Ici aussi, l’occasion est toute trouvée pour désigner un successeur pressé, trop pressé ! L’on a même poussé la malveillance jusqu’à lier des supposées ambitions à l’incident malheureux survenu lors du gala de ce parti.
Pour soutenir de telles allégations, les journalistes se sont inspirés de deux interviews que le Premier responsable de la CDVR a récemment accordées :
La première interview a été accordée à Radio-ONUCI, ici même à Abidjan, le 28 septembre 2012. Au cours des échanges, le journaliste l’a interrogé sur les termes prochains du mandat de la CDVR et sur la nécessité de sa prolongation.
La réponse de monsieur Charles Konan BANNY fut qu’il n’a jamais aimé les prolongations en général et qu’il préfère que les matchs soient gagnés dans les temps réglementaires.
La seconde interview donnée à Radio France International (RFI) à Paris, à la mi-avril 2013, en vue de la mise en place des plateformes-CDVR ; était consacrée au même sujet. De plus, le journaliste s’est fendu d’une question relative au PDCI et à son prochain congrès. A ce propos, la conviction du Président est que le PDCI, parti-creuset, parti-souche de toutes les formations politiques ivoiriennes a un rôle central dans l’avenir du pays et son congrès devrait être l’occasion de débattre sur les questions essentielles autour desquelles, les Ivoiriens doivent se mobiliser à savoir, la garantie des libertés individuelles et collectives, la sécurité, la restauration du système de santé et de notre appareil judiciaire, la bonne gouvernance : l’école, l’emploi, le panier de la ménagère etc.
En tout état de cause, le Président de la CDVR estime qu’il y a un temps pour toute chose. Dans son calendrier, le temps actuel est entièrement et exclusivement consacré à la réalisation de sa mission dont le terme de deux ans lui a été fixé par le Chef de l’Etat.
Son souhait le plus cher est de contribuer à ramener la confiance entre ses compatriotes.
Ayant suffisamment blanchi sous le harnais pour pouvoir tirer les leçons de l’histoire ivoirienne en toute conscience et convaincu que demain appartient à Dieu, M. Charles Konan BANNY souhaite être seul responsable au moins, de son avenir politique…
Porte parole du Président de la CDVR, Sran Kouassi
L’occasion pour certains semble belle et se présente sur une double facettes.
Premièrement, son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République en fonction a exprimé sa volonté d’être candidat en 2015. L’on pense qu’il faut lui trouver aussitôt un adversaire de taille.
Deuxièmement, le président du PDCI, Monsieur Henri Konan BEDIE annonce deux prochaines réunions des instances de ce grand parti en vue de la tenue d’un congrès. Ici aussi, l’occasion est toute trouvée pour désigner un successeur pressé, trop pressé ! L’on a même poussé la malveillance jusqu’à lier des supposées ambitions à l’incident malheureux survenu lors du gala de ce parti.
Pour soutenir de telles allégations, les journalistes se sont inspirés de deux interviews que le Premier responsable de la CDVR a récemment accordées :
La première interview a été accordée à Radio-ONUCI, ici même à Abidjan, le 28 septembre 2012. Au cours des échanges, le journaliste l’a interrogé sur les termes prochains du mandat de la CDVR et sur la nécessité de sa prolongation.
La réponse de monsieur Charles Konan BANNY fut qu’il n’a jamais aimé les prolongations en général et qu’il préfère que les matchs soient gagnés dans les temps réglementaires.
La seconde interview donnée à Radio France International (RFI) à Paris, à la mi-avril 2013, en vue de la mise en place des plateformes-CDVR ; était consacrée au même sujet. De plus, le journaliste s’est fendu d’une question relative au PDCI et à son prochain congrès. A ce propos, la conviction du Président est que le PDCI, parti-creuset, parti-souche de toutes les formations politiques ivoiriennes a un rôle central dans l’avenir du pays et son congrès devrait être l’occasion de débattre sur les questions essentielles autour desquelles, les Ivoiriens doivent se mobiliser à savoir, la garantie des libertés individuelles et collectives, la sécurité, la restauration du système de santé et de notre appareil judiciaire, la bonne gouvernance : l’école, l’emploi, le panier de la ménagère etc.
En tout état de cause, le Président de la CDVR estime qu’il y a un temps pour toute chose. Dans son calendrier, le temps actuel est entièrement et exclusivement consacré à la réalisation de sa mission dont le terme de deux ans lui a été fixé par le Chef de l’Etat.
Son souhait le plus cher est de contribuer à ramener la confiance entre ses compatriotes.
Ayant suffisamment blanchi sous le harnais pour pouvoir tirer les leçons de l’histoire ivoirienne en toute conscience et convaincu que demain appartient à Dieu, M. Charles Konan BANNY souhaite être seul responsable au moins, de son avenir politique…
Porte parole du Président de la CDVR, Sran Kouassi