Abidjan (Côte d’Ivoire)- Les présidents des Cellules nationales de traitement des informations financières de l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont entamé mardi à Accra, une réunion pour élaborer "une approche collective et harmonisée" de lutte contre le blanchiment des capitaux.
Cette rencontre de quatre jours, dans le cadre de la 19ème session plénière de la commission technique du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest (GIABA), sera axée sur la mise en œuvre de mesures décisives de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Les rapports de suivi de neuf Etats membres feront l’objet de discussions fondées sur les analyses du secrétariat, en mettant en exergue le niveau de mise en œuvre des recommandations portant sur les Rapports d’évaluation mutuelle (REM).
Par ailleurs le groupe de travail sur les évaluations mutuelles et la mise en œuvre se penchera sur les rapports de suivi du Bénin, du Libéria, du Nigéria, du Sénégal et du Togo, des pays placés sous le régime du suivi régulier accéléré.
Le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Bissau et la Sierra-Leone, sont placés sous le régime de suivi renforcé.
Le processus de suivi est conçu pour aider les Etats membres à accélérer les mesures devant pallier les insuffisances identifiées dans les REM, indique-t-on.
Il permet aussi de s’assurer que des mesures de lutte contre le blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme (LBC/FT), efficaces et conformes aux standards internationaux acceptables, sont mises en place.
Cette rencontre de quatre jours, dans le cadre de la 19ème session plénière de la commission technique du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest (GIABA), sera axée sur la mise en œuvre de mesures décisives de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Les rapports de suivi de neuf Etats membres feront l’objet de discussions fondées sur les analyses du secrétariat, en mettant en exergue le niveau de mise en œuvre des recommandations portant sur les Rapports d’évaluation mutuelle (REM).
Par ailleurs le groupe de travail sur les évaluations mutuelles et la mise en œuvre se penchera sur les rapports de suivi du Bénin, du Libéria, du Nigéria, du Sénégal et du Togo, des pays placés sous le régime du suivi régulier accéléré.
Le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Bissau et la Sierra-Leone, sont placés sous le régime de suivi renforcé.
Le processus de suivi est conçu pour aider les Etats membres à accélérer les mesures devant pallier les insuffisances identifiées dans les REM, indique-t-on.
Il permet aussi de s’assurer que des mesures de lutte contre le blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme (LBC/FT), efficaces et conformes aux standards internationaux acceptables, sont mises en place.