Directeur Exécutif du centre pour l’entrepreneuriat de IESE Barcelone, Mathieu carenzo, était récemment à Abidjan. Aux hommes d’affaires ivoiriens et Top managers, il a expliqué les avantages des «Angels Funds».
Combinant les caractéristiques des fonds d’investissements avec les exigences du réseau de «Business Angel», c'est-à-dire, de personnes prêtes à apporter leurs concours financiers à des entrepreneurs qui démarrent une affaire, les ‘’Angels Funds’’ sont , selon Mathieu Carenzo, une opportunité d’affaires pour tous ceux qui désirent investir dans de nouvelles affaires. C’est ce qu’il a expliqué aux pensionnaires de MDE Business School. «Aujourd’hui, un entrepreneur qui commence à développer son affaire à beaucoup de mal à trouver des financements appropriés. Les fonds d’investissements n’interviennent pas dans de telles sociétés parce qu’elles sont encore trop risquées et trop jeunes. Et la majorité des citoyens ivoiriens n’ont pas la capacité financière suffisante pour soutenir ces entreprises. Il manque donc un acteur, celui qui va permettre de propulser les entreprises du stade d’amorçage et de démarrage vers les fonds d’investissements, les banques et ceux qui ont une plus grande capacité de financement»,a-t-il fait savoir. Pour lui, il n’y a pas de difficultés à installer un «Angel Fund» dans la mesure où il est semblable à l’installation d’un fonds d’investissements. «Il faut simplement qu’un «Business Angel» prenne la responsabilité au niveau local d’être le leader de ce fonds. Ce dernier doit s’engager à faire des investissements et dédier le temps nécessaire pour sélectionner des projets. Aussi, il doit et persuader les autres investisseurs, c'est-à-dire les co-business angel, à réaliser des investissements pour alimenter ce fonds », a-t-il souligné. Tout en incitant les hommes d’affaires ivoiriens ayant des réserves financières importantes à s’y mettre. Car, estime-t-il, le bénéfice offert est important. «On va créer plus d’entreprises, plus de valeurs et évidemment, plus d’emplois pour la relance économique ivoirienne», a-t-il dit pour étayer ses propos. Avant de les inviter à bien étudier les projets qui pourraient leur être présentés.
K.H
Combinant les caractéristiques des fonds d’investissements avec les exigences du réseau de «Business Angel», c'est-à-dire, de personnes prêtes à apporter leurs concours financiers à des entrepreneurs qui démarrent une affaire, les ‘’Angels Funds’’ sont , selon Mathieu Carenzo, une opportunité d’affaires pour tous ceux qui désirent investir dans de nouvelles affaires. C’est ce qu’il a expliqué aux pensionnaires de MDE Business School. «Aujourd’hui, un entrepreneur qui commence à développer son affaire à beaucoup de mal à trouver des financements appropriés. Les fonds d’investissements n’interviennent pas dans de telles sociétés parce qu’elles sont encore trop risquées et trop jeunes. Et la majorité des citoyens ivoiriens n’ont pas la capacité financière suffisante pour soutenir ces entreprises. Il manque donc un acteur, celui qui va permettre de propulser les entreprises du stade d’amorçage et de démarrage vers les fonds d’investissements, les banques et ceux qui ont une plus grande capacité de financement»,a-t-il fait savoir. Pour lui, il n’y a pas de difficultés à installer un «Angel Fund» dans la mesure où il est semblable à l’installation d’un fonds d’investissements. «Il faut simplement qu’un «Business Angel» prenne la responsabilité au niveau local d’être le leader de ce fonds. Ce dernier doit s’engager à faire des investissements et dédier le temps nécessaire pour sélectionner des projets. Aussi, il doit et persuader les autres investisseurs, c'est-à-dire les co-business angel, à réaliser des investissements pour alimenter ce fonds », a-t-il souligné. Tout en incitant les hommes d’affaires ivoiriens ayant des réserves financières importantes à s’y mettre. Car, estime-t-il, le bénéfice offert est important. «On va créer plus d’entreprises, plus de valeurs et évidemment, plus d’emplois pour la relance économique ivoirienne», a-t-il dit pour étayer ses propos. Avant de les inviter à bien étudier les projets qui pourraient leur être présentés.
K.H