Régulièrement soumis à des audits externes, les gestionnaires financiers des projets cofinancés ont cru bon de se retrouver le vendredi 3 mai dernier à Cocody Angré dans un cadre plutôt récréatif pour réfléchir sur la meilleure forme de collaboration entre eux et ces auditeurs.
«Quelle est la meilleure attitude à adopter face à un auditeur externe ? » « Quelles dispositions pertinentes le gestionnaire financier doit-il prendre pour garantir le succès de l’audit ? ». C’est autour de ces questions et bien d’autres que le Réseau des Gestionnaires Financiers des projets cofinancés (RGEF) et des experts comptables ont échangé vendredi dernier dans un réceptif de la place. L’objectif initial de cette rencontre, selon le Président dudit réseau, M. Sébastien Gréki du Projet d’Urgence d’Infrastructures Urbaines (PUIUR) était « de contribuer à entretenir la convivialité et à renforcer la confraternité entre les gestionnaires financiers des projets cofinancés par le partage régulier d’expériences professionnelles». Disséquant le thème « Les défis de l’audit financier des projets », Le conférencier du jour, Souleymane Coulibaly, expert comptable associé au Cabinet PWC, a tenu toute l’assistance en haleine. Il est parti de la définition même de l’audit financier à la nécessité d’une franche collaboration entre l’auditeur et le gestionnaire financier. Il a particulièrement attiré l’attention de l’auditoire sur l’attitude contre-productive de l’auditeur «chasseur-jouisseur», le chercheur de poux, prompt à se délecter de la moindre imperfection sur les écritures. «Pour vous en prémunir, soyez méticuleux, travaillez avec la plus haute conscience professionnelle », a-t-il conseillé. Avant de les inviter à avoir en mémoire que ‘’les projets co-financés par les partenaires au développement sont toujours assortis d’une obligation de résultats’’. Pour lui, cet état de fait est la raison principale pour laquelle des audits sont régulièrement effectués auprès des gestionnaires financiers desdits projets. C’est pourquoi, il leur a conseillé d’avoir une attitude de collaborateurs avec les auditeurs et jouer à tout moment la carte de la transparence, gage des prémices de la bonne gouvernance.
K.H
«Quelle est la meilleure attitude à adopter face à un auditeur externe ? » « Quelles dispositions pertinentes le gestionnaire financier doit-il prendre pour garantir le succès de l’audit ? ». C’est autour de ces questions et bien d’autres que le Réseau des Gestionnaires Financiers des projets cofinancés (RGEF) et des experts comptables ont échangé vendredi dernier dans un réceptif de la place. L’objectif initial de cette rencontre, selon le Président dudit réseau, M. Sébastien Gréki du Projet d’Urgence d’Infrastructures Urbaines (PUIUR) était « de contribuer à entretenir la convivialité et à renforcer la confraternité entre les gestionnaires financiers des projets cofinancés par le partage régulier d’expériences professionnelles». Disséquant le thème « Les défis de l’audit financier des projets », Le conférencier du jour, Souleymane Coulibaly, expert comptable associé au Cabinet PWC, a tenu toute l’assistance en haleine. Il est parti de la définition même de l’audit financier à la nécessité d’une franche collaboration entre l’auditeur et le gestionnaire financier. Il a particulièrement attiré l’attention de l’auditoire sur l’attitude contre-productive de l’auditeur «chasseur-jouisseur», le chercheur de poux, prompt à se délecter de la moindre imperfection sur les écritures. «Pour vous en prémunir, soyez méticuleux, travaillez avec la plus haute conscience professionnelle », a-t-il conseillé. Avant de les inviter à avoir en mémoire que ‘’les projets co-financés par les partenaires au développement sont toujours assortis d’une obligation de résultats’’. Pour lui, cet état de fait est la raison principale pour laquelle des audits sont régulièrement effectués auprès des gestionnaires financiers desdits projets. C’est pourquoi, il leur a conseillé d’avoir une attitude de collaborateurs avec les auditeurs et jouer à tout moment la carte de la transparence, gage des prémices de la bonne gouvernance.
K.H