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Société Publié le lundi 13 mai 2013 | Soir Info

En quelques mots - L’épinard

Avec seulement 25 calories pour 100 g, selon passeportsante.net, les épinards sont très bons pour la santé en raison de leur forte teneur en vitamines, minéraux et antioxydants. Ils contribuent à prévenir les maladies comme le cancer ou le stress oxydatif. Les épinards constituent un allié minceur et bien-être de taille : riches en fibres solubles, ils facilitent le transit, garantissant le confort intestinal assurant un ventre plat. Bon à savoir : les épinards cuits sont plus nutritifs que crus.
La carotte
Crue ou cuite, pour passeportsante.net, la carotte ne contient que 30 calories environ. Elle constitue une excellente source de caroténoïdes, dont la plus connue est la béta-carotène, qui permet de protéger l’organisme des radicaux libres, des cancers ou des maladies cardio-vasculaires. Riche en vitamine C, la carotte sera aussi l’alliée des belles peaux et des teints lumineux. Bon à savoir : les carottes les plus orangées contiennent 2 fois plus de béta-carotène.
Les hémorroïdes
L'origine des hémorroïdes, selon santenutrition est une pression trop forte dans des veines fragilisées. Cette pression est provoquée par les problèmes de digestion, causés par une nourriture pauvre en fibre, la sédentarité (en particulier la vie de bureau), l'obésité. Elle est fréquente également chez les femmes enceintes mais les hémorroïdes disparaissent après l'accouchement. Le mouvement naturel des intestins doit provoquer l'expulsion des selles sans forcer. Toutefois, exercer une légère pression, jamais plus de quinze secondes de suite, avec les abdominaux.
Alicaments
Les rayons des supermarchés sont garnis d’alicaments (contraction du mot « aliment » et « médicament ») tels que des laits enrichis avec plus de fer et de calcium, des œufs et de la margarine, etc. Mais la consommation de ces produits, selon mag-santenutrition. com, pourrait probablement « dérégler » la flore intestinale de personnes, dès lors qu’ils ne seraient plus consommés car le corps, s’y serait habitué formant une sorte de « dépendance » aux micro-organismes.

Dominique FADEGNON
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