L’arrestation de Oueremi a eu le mérite de révéler à la face du monde une autre vérité que le régime Ouattara et ses parrains ont de tout temps caché. A savoir que le camp Ouattara a bel et bien utilisé les milices et des mercenaires dans son combat pour la conquête du pouvoir en Côte d’Ivoire. Amandé Ouéremi est un burkinabé bon teint qui est à la tête d’une milice composée de mercenaires burkinabé estimés à environs 800 personnes. Les medias occidentaux qui occultaient cette réalité, sur la dictée de leurs maîtres, ont commencé à mettre les pendules à l’heure. « Un chef de milice, soupçonné de graves crimes durant la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, a été arrêté samedi dans une forêt de l’Ouest où il régnait en maître depuis des années, a-t-on appris de source militaire.
D’origine burkinabè, Amadé Ouérémi, à la tête du groupe armé qui occupait la forêt du Mont Péko, "a capitulé" face à un détachement des Forces républicaines (FRCI, armée), a déclaré à l’AFP une source au sein de l’état-major » souligne la dépêche de l’agence France Presse (Afp) qui donne l’information relative à l’arrestation du mercenaire Burkinabé.
L’agence française précise en outre que « Amadé Ouérémi est soupçonné par des ONG internationales d’être impliqué dans les tueries survenues à Duékoué en mars 2011, durant la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 qui a fait quelque 3.000 morts dans le pays.
Ses troupes avaient été utilisées comme forces supplétives par les
ex-rebelles nordistes à qui sont largement imputés ces massacres.
L’ex-rébellion, dont les chefs sont désormais des cadres des FRCI, s’était ralliée à Alassane Ouattara au début de la crise postélectorale qui l’opposait à Laurent Gbagbo ». Une preuve irréfutable de plus que le camp Ouattara a utilisé les miliciens et mercenaires pour commettre de crimes graves en Côte d’Ivoire.
J.K.S.
D’origine burkinabè, Amadé Ouérémi, à la tête du groupe armé qui occupait la forêt du Mont Péko, "a capitulé" face à un détachement des Forces républicaines (FRCI, armée), a déclaré à l’AFP une source au sein de l’état-major » souligne la dépêche de l’agence France Presse (Afp) qui donne l’information relative à l’arrestation du mercenaire Burkinabé.
L’agence française précise en outre que « Amadé Ouérémi est soupçonné par des ONG internationales d’être impliqué dans les tueries survenues à Duékoué en mars 2011, durant la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 qui a fait quelque 3.000 morts dans le pays.
Ses troupes avaient été utilisées comme forces supplétives par les
ex-rebelles nordistes à qui sont largement imputés ces massacres.
L’ex-rébellion, dont les chefs sont désormais des cadres des FRCI, s’était ralliée à Alassane Ouattara au début de la crise postélectorale qui l’opposait à Laurent Gbagbo ». Une preuve irréfutable de plus que le camp Ouattara a utilisé les miliciens et mercenaires pour commettre de crimes graves en Côte d’Ivoire.
J.K.S.