C’est vrai. Amadé Ouérémi a été pris. Bravo ! Mais ! Comme lui, il en existe encore. Dans nos rues, dans nos villages, dans notre armée, dans notre police... Ceux-là, il faut les traquer. Les prendre aussi. Et dissocier ainsi, le bon de l’ivraie. C’est la crédibilité de nos autorités, qui s’en trouverait davantage revalorisée. Et, surtout, pour la paix des populations.
Madeleine TANOU
Madeleine TANOU