La conférence des présidents des Universités de Côte d’Ivoire, a animé un point de presse le jeudi dernier, à l’université Nangui Abrogoua. Il s’agissait pour les premiers responsables des universités ivoiriennes, de condamner avec la dernière énergie, les récents actes de violence en milieu universitaire. Au cours de cette rencontre avec la presse, Pr. Coulibaly Adama, vice-président de l’université Peleforo Gon Coulibaly de Korhogo, Lacana Coulibaly, vice-président de l’Université Nangui Abrogoua, Dr. Bouaffou secrétaire général de l’école normale supérieure, Pr. Kodjo Michel, vice-président de l’université Alassane Ouattara de Bouaké, Yati Kouadio, vice-président de l’université Lorougnon Guédé de Daloa et Dr. Adama Sylla, de l’Institut national Polyethnique Houphouët-Boigny, ont dit leur ras-le-bol face au regain de violences à l’université.
«Il convient de rappeler que la violence dans le milieu universitaire ivoirien a endeuillé beaucoup de nos concitoyens, marqué à vie certains étudiants et poussé de nombreuses personnes à abandonner les études universitaires », a regretté Pr. Coulibaly Adama. Puis de remettre sur le couvert, les ‘’innombrables’’ actions du ministre de tutelle, afin de redresser les universités ivoiriennes. Si pour la conférence des présidents des Universités ivoiriennes, les étudiants n’ont pu saisir au bond cette belle initiative du ‘’Départ nouveau’’, les actes perpétrés, ont une étrange ressemblance avec ceux de la Fesci. En dénonçant ces violences qui ternissent l’image des universités de Côte d’Ivoire dans son ensemble, la conférence des présidents exprime sa compassion au ministre Ibrahima Cissé Bacongo.
A.Dedi
«Il convient de rappeler que la violence dans le milieu universitaire ivoirien a endeuillé beaucoup de nos concitoyens, marqué à vie certains étudiants et poussé de nombreuses personnes à abandonner les études universitaires », a regretté Pr. Coulibaly Adama. Puis de remettre sur le couvert, les ‘’innombrables’’ actions du ministre de tutelle, afin de redresser les universités ivoiriennes. Si pour la conférence des présidents des Universités ivoiriennes, les étudiants n’ont pu saisir au bond cette belle initiative du ‘’Départ nouveau’’, les actes perpétrés, ont une étrange ressemblance avec ceux de la Fesci. En dénonçant ces violences qui ternissent l’image des universités de Côte d’Ivoire dans son ensemble, la conférence des présidents exprime sa compassion au ministre Ibrahima Cissé Bacongo.
A.Dedi