Le concept de ‘’Départ Nouveau ‘’ dans l’enseignement supérieur est dans sa phase active.
Après la réouverture le 3 septembre 2012, grâce aux travaux de rénovation d’un coût de 110 milliards FCFA, le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique s’attaque au volet didactique. Et particulièrement aux ressources humaines. Constatant le manque d’enseignants dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR). Un vaste recrutement d’enseignants est lancé depuis lors et prend fin le 20 juin prochain. Cette opération concerne les titulaires d’un Doctorat 3ème cycle, les détenteurs d’un Doctorat thèse unique, d’un Doctorat d’Etat. Sont également concernés, tous les titulaires de PHD, les diplômés de type ingénieur de conception agréé par l’Etat, notamment les diplômes d’architecte, d’expert-comptable, d’étude comptable supérieur (DECS), d’Etude comptable Supérieur et Financière (DESCF). Mais, la tutelle a aussi tenu compte de l’âge. Les postulants devraient avoir au plus 47 ans. Une manière, certainement, d’insuffler du sang neuf dans le milieu universitaire où les enseignants sont, pour la plupart, des septuagénaires. Mieux, la possibilité est donnée aux personnes ne remplissant pas la condition de nationalité, titulaires de l’un des diplômes exigés, de faire acte de candidature pour un contrat.
Les Universités et filières concernées
Ce recrutement d’enseignants ne concerne pas que les universités publiques. Même si une part belle leur est faite. D’autant plus que toutes les universités publiques du pays sont concernées. A l’université Félix Houphouët-Boigny, d’Abidjan, ce sont les départements des Sciences, Techniques, Lettres, Arts, Sciences Humaines, Communication, Economie, Droit, Développement, Sciences de la Santé qui seront pourvues en enseignants. A l’Université Alassane Ouattara (Bouaké), des enseignants seront recrutés dans les Ufr de Communication – Milieu – Société (CMS), Sciences Economiques et Développement (SED), Sciences Juridiques, Administratives et Gestion (SJG), Sciences Médicales. A l’Université Nangui Abrogoua (Abidjan), les Sciences Fondamentales et Appliquées (SFA), Sciences et Gestion de l’Environnement (SGE), Sciences de la Nature(SN), Sciences et Technologie des Aliments(STA) vont voir leur effectif d’enseignants grandir. Dans le fin fond, au nord du pays, l’Université Peleforo Gon Coulibaly (Korhogo), le déficit d’enseignant sera comblé dans les départements de Médecine - Sciences Biologiques, Sciences sociales, Arts, Gestion Agropastorale. Les étudiants de l’Université Jean Lorougnon Guedé (Daloa) auront des enseignants dans les départements de l’Agroforesterie, Environnement, Sciences Sociales et Humaines, Sciences Economiques et de Gestion, Sciences Juridiques. A coté des Universités, l’école de formation des formateurs, l’Ecole Normale Supérieure (ENS) recherche des formateurs de formateurs dans les départements des Lettres, Arts, Histoire Géographie, Sciences de l’Education, Sciences et Techniques.
Les Grandes écoles publiques
L’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) Yamoussoukro, qui est en train de faire sa mue tant au plan environnemental que pédagogique va booster son potentiel enseignant par le biais de ce recrutement. Sont donc concernée par ce recrutement les filières des Sciences, Techniques, Agronomie, Commerce, Informatique, Travaux Publics. Bien d’autres structures placées sous la tutelle de ministères techniques recrutent également des enseignants aux normes définies par les Ministères de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS). Il s’agit , entre autres, de l’Ecole Nationale de Statistique et d'économie Appliquée (ENSEA), l’Ecole Supérieure Africaine des Techniques de l’Information et de la Communication (ESATIC) Technologies de l’Information et de la Communication, l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC), l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS), l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC), l’Institut Pédagogique National de l’Enseignement Technique et Professionnel (IPNETP). Une opération qui va donner un coup d’accélérateur au système universitaire en panne depuis plus de deux décennies.
F.TAKY
Après la réouverture le 3 septembre 2012, grâce aux travaux de rénovation d’un coût de 110 milliards FCFA, le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique s’attaque au volet didactique. Et particulièrement aux ressources humaines. Constatant le manque d’enseignants dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR). Un vaste recrutement d’enseignants est lancé depuis lors et prend fin le 20 juin prochain. Cette opération concerne les titulaires d’un Doctorat 3ème cycle, les détenteurs d’un Doctorat thèse unique, d’un Doctorat d’Etat. Sont également concernés, tous les titulaires de PHD, les diplômés de type ingénieur de conception agréé par l’Etat, notamment les diplômes d’architecte, d’expert-comptable, d’étude comptable supérieur (DECS), d’Etude comptable Supérieur et Financière (DESCF). Mais, la tutelle a aussi tenu compte de l’âge. Les postulants devraient avoir au plus 47 ans. Une manière, certainement, d’insuffler du sang neuf dans le milieu universitaire où les enseignants sont, pour la plupart, des septuagénaires. Mieux, la possibilité est donnée aux personnes ne remplissant pas la condition de nationalité, titulaires de l’un des diplômes exigés, de faire acte de candidature pour un contrat.
Les Universités et filières concernées
Ce recrutement d’enseignants ne concerne pas que les universités publiques. Même si une part belle leur est faite. D’autant plus que toutes les universités publiques du pays sont concernées. A l’université Félix Houphouët-Boigny, d’Abidjan, ce sont les départements des Sciences, Techniques, Lettres, Arts, Sciences Humaines, Communication, Economie, Droit, Développement, Sciences de la Santé qui seront pourvues en enseignants. A l’Université Alassane Ouattara (Bouaké), des enseignants seront recrutés dans les Ufr de Communication – Milieu – Société (CMS), Sciences Economiques et Développement (SED), Sciences Juridiques, Administratives et Gestion (SJG), Sciences Médicales. A l’Université Nangui Abrogoua (Abidjan), les Sciences Fondamentales et Appliquées (SFA), Sciences et Gestion de l’Environnement (SGE), Sciences de la Nature(SN), Sciences et Technologie des Aliments(STA) vont voir leur effectif d’enseignants grandir. Dans le fin fond, au nord du pays, l’Université Peleforo Gon Coulibaly (Korhogo), le déficit d’enseignant sera comblé dans les départements de Médecine - Sciences Biologiques, Sciences sociales, Arts, Gestion Agropastorale. Les étudiants de l’Université Jean Lorougnon Guedé (Daloa) auront des enseignants dans les départements de l’Agroforesterie, Environnement, Sciences Sociales et Humaines, Sciences Economiques et de Gestion, Sciences Juridiques. A coté des Universités, l’école de formation des formateurs, l’Ecole Normale Supérieure (ENS) recherche des formateurs de formateurs dans les départements des Lettres, Arts, Histoire Géographie, Sciences de l’Education, Sciences et Techniques.
Les Grandes écoles publiques
L’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) Yamoussoukro, qui est en train de faire sa mue tant au plan environnemental que pédagogique va booster son potentiel enseignant par le biais de ce recrutement. Sont donc concernée par ce recrutement les filières des Sciences, Techniques, Agronomie, Commerce, Informatique, Travaux Publics. Bien d’autres structures placées sous la tutelle de ministères techniques recrutent également des enseignants aux normes définies par les Ministères de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS). Il s’agit , entre autres, de l’Ecole Nationale de Statistique et d'économie Appliquée (ENSEA), l’Ecole Supérieure Africaine des Techniques de l’Information et de la Communication (ESATIC) Technologies de l’Information et de la Communication, l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC), l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS), l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC), l’Institut Pédagogique National de l’Enseignement Technique et Professionnel (IPNETP). Une opération qui va donner un coup d’accélérateur au système universitaire en panne depuis plus de deux décennies.
F.TAKY