Aider ceux qui y participeront à cerner la nouvelle dynamique du droit utilisé comme outil d’acquisition et de défense des capacités stratégiques de l’entreprise, tels est l’un des objectif majeur de la séance de formation organisée par la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), le vendredi 12 juillet au plateau à la CCRAE –UMOA. Animée par Monsieur KOMOIN François, Docteur en droit économique, Magistrat hors hiérarchie, Président du Tribunal de Commerce d’Abidjan, cette rencontre permettra aux participants du jour de faire du droit un moyen de création de la valeur pour leur entreprise et un avantage concurrentiel vis-à-vis des autres entreprises. Elle leur permettra en outre de mieux gérer les conflits et procès et de les faire tourner à l’avantage de leur entreprise.
La stratégie depuis longtemps prise en compte en économie et en gestion a investi le droit des affaires, les entreprises incorporant le droit comme une partie intégrante de leurs stratégies. On parle, aujourd’hui, de « juristratégie ». La stratégie trouve sa raison d’être dans la prévention ou la gestion du risque juridique. Une entreprise dépourvue d’une véritable stratégie juridique est vulnérable au risque juridique. Certes, la plupart des entreprises disposent de services juridiques ou de conseils. Ces services ou conseils juridiques disposent-ils des outils ou des bonnes pratiques pour prendre l’exacte mesure des risques juridiques auxquels s’exposent les entreprises ? Lorsque le risque survient, privilégient-ils le plus souvent la recherche de solutions négociées ou transactionnelles ? Pas si sûr, au regard de l’abondant contentieux dans lesquels sont impliquées les entreprises.
Les enjeux de la définition d’une bonne stratégie sont importants tant les facteurs qui influencent inexorablement le destin de l’entreprise sont multiples et insaisissables. On peut citer, entre autres :
- une inflation normative avec des règles de Droit aussi diverses que complexes ;
- une concurrence de plus en plus agressive dans un contexte de mondialisation de l’économie ;
- une clientèle plus exigeante et moins tolérante toujours aux aguets d’une indemnisation ;
- une sécurité des rapports commerciaux toujours fragilisée par la criminalité économique grandissante.
La stratégie depuis longtemps prise en compte en économie et en gestion a investi le droit des affaires, les entreprises incorporant le droit comme une partie intégrante de leurs stratégies. On parle, aujourd’hui, de « juristratégie ». La stratégie trouve sa raison d’être dans la prévention ou la gestion du risque juridique. Une entreprise dépourvue d’une véritable stratégie juridique est vulnérable au risque juridique. Certes, la plupart des entreprises disposent de services juridiques ou de conseils. Ces services ou conseils juridiques disposent-ils des outils ou des bonnes pratiques pour prendre l’exacte mesure des risques juridiques auxquels s’exposent les entreprises ? Lorsque le risque survient, privilégient-ils le plus souvent la recherche de solutions négociées ou transactionnelles ? Pas si sûr, au regard de l’abondant contentieux dans lesquels sont impliquées les entreprises.
Les enjeux de la définition d’une bonne stratégie sont importants tant les facteurs qui influencent inexorablement le destin de l’entreprise sont multiples et insaisissables. On peut citer, entre autres :
- une inflation normative avec des règles de Droit aussi diverses que complexes ;
- une concurrence de plus en plus agressive dans un contexte de mondialisation de l’économie ;
- une clientèle plus exigeante et moins tolérante toujours aux aguets d’une indemnisation ;
- une sécurité des rapports commerciaux toujours fragilisée par la criminalité économique grandissante.