Le conseil d’administration de l’Union des professionnels des médias et de la communication de la Côte d’Ivoire (Upmci) a officiellement remis hier 2 août le ‘’Prix d’Or 2013’’ attribué à Pascal Kouakou Abinan, directeur général des Impôts (Dgi). Le lauréat du prix a été désigné le 13 juillet dernier à la suite d’un sondage public fait par l’Upmci, a rappelé Bertin Kouakou, secrétaire en charge des projets de l’union.
Pour lui, la Direction générale des Impôts est une ‘’institution qui a mis au devant de ses activités la communication’’. C’est, admet-il, par la communication faite sur le civisme fiscal, et ce depuis des années, que chaque Ivoirien sait que les Impôts constituent un élément important de l’économie du pays. «Nous voulons aller vers l’émergence 2020, les Impôts comptent dans cette politique du Président de la République», a-t-il dit. Selon Rash N’guessan, président du conseil d’administration de l’Umpci, les chiffres communiqués au niveau du gouvernement concernant la Dgi sont très encourageants.
«Le taux de croissance donné par l’Etat est le fruit de votre travail. Vous faites le bonheur de l’Etat et de la Côte d’Ivoire», a-t-il ajouté.
Pour l’honneur fait à sa direction par l’attribution d’un prix d’honneur par rapport à sa politique de communication, Pascal Kouakou Abinan qui avait à ses côtés N’cho Claver, son Directeur général adjoint, a dit «accepter – au nom de la direction générale – avec beaucoup de joie ce prix».
«La presse, la communication dans son ensemble, est, a-t-il confié, un outil de gestion performante… Je sais le poids et l’impact de la presse, surtout en ce qui nous concerne – la Direction générale des Impôts. Un impôt qui est connu et bien perçu est facile à être recouvré.
Si les gens ne savent pas pourquoi ils paient l’impôt et à quoi il sert, ils sont réfractaires parce qu’ils n’en voient pas l’importance. C’est pourquoi nous avons décidé de mettre l’accent sur la communication», a-t-il expliqué. Exprimant sa satisfaction, le directeur général des Impôts affirme que «les Ivoiriens ont commencé à comprendre l’importance de l’Impôt dans le développement d’un pays».
De l’émergence en 2020 de la Côte d’Ivoire annoncé par le Président de la République, Alassane Ouattara, le ‘’Prix d’Or 2013’’ a expliqué l’apport du premier [Alassane Ouattara] à la Dgi pour atteindre cet objectif et appliquer sa politique.
«Quand le Président de la République, M. Alassane Ouattara, dit que la Côte d’Ivoire doit être un pays émergent à l’horizon 2020, il sait de quoi il parle parce que c’est un économiste, un financier. De ce point de vue, il nous appuie… pour arriver à réaliser nos objectifs. Il sait que c’est grâce aux ressources internes que la Côte d’Ivoire aura ce développement. On ne se développera pas par rapport aux subventions et aux aides extérieures ! Ce ne sont que des appoints. Lorsque vous êtes autosuffisant, les gens vous respectent et quand ils viennent vous aider, ils savent à qui ils ont affaire. C’est ce que le Président veut et c’est ce qu’il est en train de faire. Nous sommes là pour mettre en œuvre la politique du Président au niveau des recettes fiscales. Nous essayons de le faire du mieux que nous pouvons», a soutenu Pascal Kouakou Abinan dont l’ambition (de la Dgi) est de permettre que les Ivoiriens arrivent à un niveau de civisme «tel qu’on ne tendra plus la main à des bailleurs de fonds extérieurs pour pouvoir développer notre pays».
Koné Saydoo
Pour lui, la Direction générale des Impôts est une ‘’institution qui a mis au devant de ses activités la communication’’. C’est, admet-il, par la communication faite sur le civisme fiscal, et ce depuis des années, que chaque Ivoirien sait que les Impôts constituent un élément important de l’économie du pays. «Nous voulons aller vers l’émergence 2020, les Impôts comptent dans cette politique du Président de la République», a-t-il dit. Selon Rash N’guessan, président du conseil d’administration de l’Umpci, les chiffres communiqués au niveau du gouvernement concernant la Dgi sont très encourageants.
«Le taux de croissance donné par l’Etat est le fruit de votre travail. Vous faites le bonheur de l’Etat et de la Côte d’Ivoire», a-t-il ajouté.
Pour l’honneur fait à sa direction par l’attribution d’un prix d’honneur par rapport à sa politique de communication, Pascal Kouakou Abinan qui avait à ses côtés N’cho Claver, son Directeur général adjoint, a dit «accepter – au nom de la direction générale – avec beaucoup de joie ce prix».
«La presse, la communication dans son ensemble, est, a-t-il confié, un outil de gestion performante… Je sais le poids et l’impact de la presse, surtout en ce qui nous concerne – la Direction générale des Impôts. Un impôt qui est connu et bien perçu est facile à être recouvré.
Si les gens ne savent pas pourquoi ils paient l’impôt et à quoi il sert, ils sont réfractaires parce qu’ils n’en voient pas l’importance. C’est pourquoi nous avons décidé de mettre l’accent sur la communication», a-t-il expliqué. Exprimant sa satisfaction, le directeur général des Impôts affirme que «les Ivoiriens ont commencé à comprendre l’importance de l’Impôt dans le développement d’un pays».
De l’émergence en 2020 de la Côte d’Ivoire annoncé par le Président de la République, Alassane Ouattara, le ‘’Prix d’Or 2013’’ a expliqué l’apport du premier [Alassane Ouattara] à la Dgi pour atteindre cet objectif et appliquer sa politique.
«Quand le Président de la République, M. Alassane Ouattara, dit que la Côte d’Ivoire doit être un pays émergent à l’horizon 2020, il sait de quoi il parle parce que c’est un économiste, un financier. De ce point de vue, il nous appuie… pour arriver à réaliser nos objectifs. Il sait que c’est grâce aux ressources internes que la Côte d’Ivoire aura ce développement. On ne se développera pas par rapport aux subventions et aux aides extérieures ! Ce ne sont que des appoints. Lorsque vous êtes autosuffisant, les gens vous respectent et quand ils viennent vous aider, ils savent à qui ils ont affaire. C’est ce que le Président veut et c’est ce qu’il est en train de faire. Nous sommes là pour mettre en œuvre la politique du Président au niveau des recettes fiscales. Nous essayons de le faire du mieux que nous pouvons», a soutenu Pascal Kouakou Abinan dont l’ambition (de la Dgi) est de permettre que les Ivoiriens arrivent à un niveau de civisme «tel qu’on ne tendra plus la main à des bailleurs de fonds extérieurs pour pouvoir développer notre pays».
Koné Saydoo
