Gagnoa – Le député de la sous-préfecture de Gagnoa, porte-parole des cadres et des populations de Gnagbodougnoa, Dougrou Augustin a exprimé la joie des populations de recevoir le président de l'Assemblée nationale, Soro Guillaume chez elles et déclaré la volonté du peuple Guébié d’aller à la réconciliation en acceptant d’oublier ses douleurs du passé pour s’engager dans le développement.
« La population de Gnagbodougnoa a déjà oublié les évènements de 1970, de 2002 et de 2010. Elle adhère désormais et résolument à la recherche de la paix indispensable pour rattraper son long retard », a déclaré le porte-parole Dougrou Augustin. Selon lui, Gnagbodougnoa a les yeux rivés sur son développement et a pour cela besoin de paix.
Il a rappelé que de nombreux actes de paix y ont été accomplis, dont le plus récent initié par le sous-préfet de la localité en juillet qui a réuni les autochtones Bété et les allogènes, après le grave conflit postélectoral.
A cette occasion, un code de bonne conduite entre communautés, proposé par le sous-préfet, Tra Bi Koué Jean Brice, a été adopté par les chefs de village de la sous-préfecture et les chefs des communautés allogènes.
Au chapitre du développement de la localité et des doléances des populations, le député a indiqué au président de l’Assemblée nationale que les infrastructures manquent cruellement dans cette sous-préfecture, restée presqu’enclavée par manque de routes praticables.
Gnagbodougnoa souhaite en lieu et place de l’actuel centre de santé vétuste un hôpital général et une ambulance, a souligné, en outre, l'élu.
Les populations demandent une nouvelle école primaire pour suppléer l’ancienne vétuste et aux capacités limitées, l’achèvement de son château d’eau pour l’adduction en eau potable, et une opération immobilière afin de rendre plus reluisante cette sous-préfecture dont de nombreux habitants habitent encore dans des cases.
En reponse, Soro Guillaume a promis de construire une nouvelle école primaire, en avançant la somme de 15 millions de francs CFA pour le démarrage des travaux.
jmk/cmas
« La population de Gnagbodougnoa a déjà oublié les évènements de 1970, de 2002 et de 2010. Elle adhère désormais et résolument à la recherche de la paix indispensable pour rattraper son long retard », a déclaré le porte-parole Dougrou Augustin. Selon lui, Gnagbodougnoa a les yeux rivés sur son développement et a pour cela besoin de paix.
Il a rappelé que de nombreux actes de paix y ont été accomplis, dont le plus récent initié par le sous-préfet de la localité en juillet qui a réuni les autochtones Bété et les allogènes, après le grave conflit postélectoral.
A cette occasion, un code de bonne conduite entre communautés, proposé par le sous-préfet, Tra Bi Koué Jean Brice, a été adopté par les chefs de village de la sous-préfecture et les chefs des communautés allogènes.
Au chapitre du développement de la localité et des doléances des populations, le député a indiqué au président de l’Assemblée nationale que les infrastructures manquent cruellement dans cette sous-préfecture, restée presqu’enclavée par manque de routes praticables.
Gnagbodougnoa souhaite en lieu et place de l’actuel centre de santé vétuste un hôpital général et une ambulance, a souligné, en outre, l'élu.
Les populations demandent une nouvelle école primaire pour suppléer l’ancienne vétuste et aux capacités limitées, l’achèvement de son château d’eau pour l’adduction en eau potable, et une opération immobilière afin de rendre plus reluisante cette sous-préfecture dont de nombreux habitants habitent encore dans des cases.
En reponse, Soro Guillaume a promis de construire une nouvelle école primaire, en avançant la somme de 15 millions de francs CFA pour le démarrage des travaux.
jmk/cmas
