Gagnoa – Le président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, à la rencontre jeudi du peuple Guébié de la sous-préfecture de Gnagbodougnoa, lui a demandé d’accepter d’accorder son pardon après les moments difficiles qu’elle a traversés et de s’inscrire dans la voix de réconciliation et du développement.
« La Côte d’Ivoire toute entière vous tend la main de la réconciliation. Vous, peuple du Guébié, vous avez souffert pendant des moments durs, traversé des périodes douloureuses, mais aujourd’hui, vous devez vous engager dans le développement », a déclaré Soro Guillaume.
« Je demande au peuple Guébié de pardonner, d’oublier, d’avancer, d’accepter de monter dans le train de la réconciliation. En ce jour béni du 15 août 2013, je demande aux fils, aux femmes, aux jeunes, aux hommes du Guébié de pardonner parce qu’il n’y a pas d’alternative à la réconciliation, l’alternative c’est la guerre », a plaidé le président de l’Assemblée nationale.
Il a indiqué qu’il ira vendredi à Ouragahio, Gnaliépa, le village de la mère de l’ex-président Gbagbo, à Mama chez celui-ci, à Guibéroua, à Kpokrobo le village de Blé Goudé et partout dans le département où il sera nécessaire de parler de paix et de réconciliation nationale.
« Je ne suis pas venu dans cette sous-préfecture pour dire de ne pas aimer Gbagbo, mais je suis venu vous dire que la réconciliation doit se faire. C’est en nous réconciliant, en nous mettant ensemble que nous pouvons trouver des solutions pour Blé Goudé, pour Gbagbo et pour tous les autres », a insisté M. Soro.
Selon lui, tous ceux qui rêvent de renverser le Président Alassane Ouattara font un beau rêve. « Mais, un rêve peut durer 20 ans, 30 », a-t-il ajoutant, soulignant que dans l'intervalle, qu’il faut construire la sous-préfecture, faire le développement.
Le peuple de Gnagbodougnoa est sorti nombreux pour recevoir le président de l’Assemblée nationale et a fait de lui un chef du Guébié.
jmk/cmas
« La Côte d’Ivoire toute entière vous tend la main de la réconciliation. Vous, peuple du Guébié, vous avez souffert pendant des moments durs, traversé des périodes douloureuses, mais aujourd’hui, vous devez vous engager dans le développement », a déclaré Soro Guillaume.
« Je demande au peuple Guébié de pardonner, d’oublier, d’avancer, d’accepter de monter dans le train de la réconciliation. En ce jour béni du 15 août 2013, je demande aux fils, aux femmes, aux jeunes, aux hommes du Guébié de pardonner parce qu’il n’y a pas d’alternative à la réconciliation, l’alternative c’est la guerre », a plaidé le président de l’Assemblée nationale.
Il a indiqué qu’il ira vendredi à Ouragahio, Gnaliépa, le village de la mère de l’ex-président Gbagbo, à Mama chez celui-ci, à Guibéroua, à Kpokrobo le village de Blé Goudé et partout dans le département où il sera nécessaire de parler de paix et de réconciliation nationale.
« Je ne suis pas venu dans cette sous-préfecture pour dire de ne pas aimer Gbagbo, mais je suis venu vous dire que la réconciliation doit se faire. C’est en nous réconciliant, en nous mettant ensemble que nous pouvons trouver des solutions pour Blé Goudé, pour Gbagbo et pour tous les autres », a insisté M. Soro.
Selon lui, tous ceux qui rêvent de renverser le Président Alassane Ouattara font un beau rêve. « Mais, un rêve peut durer 20 ans, 30 », a-t-il ajoutant, soulignant que dans l'intervalle, qu’il faut construire la sous-préfecture, faire le développement.
Le peuple de Gnagbodougnoa est sorti nombreux pour recevoir le président de l’Assemblée nationale et a fait de lui un chef du Guébié.
jmk/cmas