Abinan Pascal, Directeur Général des Impôts, fait l’objet d’attaques gratuites. Des individus manœuvrent actuellement pour obliger le Président Ouattara à évincer Abinan de son poste de Directeur général des Impôts. La pratique bien connue en Afrique consiste à discréditer les hautes personnalités de l’Etat à travers la presse pour avoir leur peau. Peine perdue. La Direction générale des Impôts, sous la conduite de son Directeur général actuel, réalise des prouesses. Et le Président Alassane Ouattara, homme averti, n’est pas celui qui cède facilement sous la pression malsaine comme celles qui ont cours actuellement contre Abinan Pascal. Surtout que l’homme est un acteur essentiel de la relance économique. Et les résultats positifs ne manquent aucunément à son actif.
La Direction générale des impôts (Dgi) vient de faire encore des prouesses pour le premier semestre de l’année 2013. En effet, sur une prévision semestrielle de 686,9 milliards Fcfa, l’administration fiscale ivoirienne, au soir du 30 juin 2013, a enregistré un résultat de 690,6 milliards, soit une plus-value de 3,7 milliards de Fcfa. Cette information a été revélée par le Directeur général des impôts Pascal Abinan, à l’occasion du séminaire bilan, tenu le 08 juillet 2013. Félicitant ses collaborateurs pour leur performance remarquable au cours de ces six premiers mois de travail, le patron des impôts a encore envoyé le commando en mission. Ne dit-on pas ‘’qu’on ne change pas une équipe qui gagne ? ’’ Il s’agit pour eux de faire encore mieux, car pour Pascal Abinan, seul le travail bien fait justifie la personnalité de l’homme. Il les a exhortés à redoubler d’efforts en mutualisant les échanges et en renforçant l’encadrement pour l’atteinte des objectifs qui sont fixés à plus de 1.400 milliards. Au cours de cette séance de travail bilan, il ressort que cette croissance significative est due aux paiements spontanés et aux actions de contrôle et de recouvrement forcé, au bon comportement des impôts et taxes à l’exception des droits d’enregistrement café-cacao. Aussi, faut-il ajouter la reprise effective des activités économiques, la réorganisation des services, l’encadrement de proximité des services opérationnels et la promotion du civisme fiscal. C’est le lieu de féliciter la Dgi pour ce bel exemple qu’elle donne à travers ses résultats positifs. En effet, depuis sa nomination en 2011 à la tête de cette structure, Pascal Kouakou Abinan a su s’entourer d’une équipe efficace, dynamique et sérieuse qui a compris qu’il faut plutôt servir son pays et non se servir. Et cela se justifie par le résultat des travaux au sein de cette régie. Tout porte à croire que le Président de la République ne s’est vraiment pas trompé en le portant aux commandes de cette régie financière. Le sérieux et l’abnégation de l’homme achèvent de convaincre qu’il était l’homme de la situation, au moment où le Président accédait au pouvoir avec une économie pratiquement agonisante. Dès sa nomination à la direction de l’administration fiscale, Pascal Abinan a, dans l’un de ses discours, fait savoir qu’il fera du contribuable un client des impôts et non un ennemi. Aujourd’hui, cette stratégie semble réussir car depuis sa nomination, la structure ne cesse de faire des excédents.
Lazare Kouadio
La Direction générale des impôts (Dgi) vient de faire encore des prouesses pour le premier semestre de l’année 2013. En effet, sur une prévision semestrielle de 686,9 milliards Fcfa, l’administration fiscale ivoirienne, au soir du 30 juin 2013, a enregistré un résultat de 690,6 milliards, soit une plus-value de 3,7 milliards de Fcfa. Cette information a été revélée par le Directeur général des impôts Pascal Abinan, à l’occasion du séminaire bilan, tenu le 08 juillet 2013. Félicitant ses collaborateurs pour leur performance remarquable au cours de ces six premiers mois de travail, le patron des impôts a encore envoyé le commando en mission. Ne dit-on pas ‘’qu’on ne change pas une équipe qui gagne ? ’’ Il s’agit pour eux de faire encore mieux, car pour Pascal Abinan, seul le travail bien fait justifie la personnalité de l’homme. Il les a exhortés à redoubler d’efforts en mutualisant les échanges et en renforçant l’encadrement pour l’atteinte des objectifs qui sont fixés à plus de 1.400 milliards. Au cours de cette séance de travail bilan, il ressort que cette croissance significative est due aux paiements spontanés et aux actions de contrôle et de recouvrement forcé, au bon comportement des impôts et taxes à l’exception des droits d’enregistrement café-cacao. Aussi, faut-il ajouter la reprise effective des activités économiques, la réorganisation des services, l’encadrement de proximité des services opérationnels et la promotion du civisme fiscal. C’est le lieu de féliciter la Dgi pour ce bel exemple qu’elle donne à travers ses résultats positifs. En effet, depuis sa nomination en 2011 à la tête de cette structure, Pascal Kouakou Abinan a su s’entourer d’une équipe efficace, dynamique et sérieuse qui a compris qu’il faut plutôt servir son pays et non se servir. Et cela se justifie par le résultat des travaux au sein de cette régie. Tout porte à croire que le Président de la République ne s’est vraiment pas trompé en le portant aux commandes de cette régie financière. Le sérieux et l’abnégation de l’homme achèvent de convaincre qu’il était l’homme de la situation, au moment où le Président accédait au pouvoir avec une économie pratiquement agonisante. Dès sa nomination à la direction de l’administration fiscale, Pascal Abinan a, dans l’un de ses discours, fait savoir qu’il fera du contribuable un client des impôts et non un ennemi. Aujourd’hui, cette stratégie semble réussir car depuis sa nomination, la structure ne cesse de faire des excédents.
Lazare Kouadio
