Au titre des dysfonctionnements observés lors de cette année scolaire, le professeur Adohi Viviane, Directrice générale de l’enseignement supérieur (DGES) a relevé le manque de toilettes, de micros, de salles, etc. Selon elle, des étudiants formellement identifiés, exclus par arrêté, ont été réintégrés par le biais des FIP (Formation individuelle permanente) et s’inscrivent grâce à la complicité fautive de certains agents des universités. Pour elle, ce dévoiement du sens et de l’intérêt de la formation continue dispensée au sein de la FIP (cours du soir) est devenu un fourre-tout. 1856 concernés devraient être exclus Elle note aussi que le nombre d’étudiants admis à s’inscrire est inférieur à ceux qui sont dans les fichiers des universités (un écart de plus de 20.000 étudiants). La DGES a aussi parlé du détournement à dessein et de la généralisation de la mesure exceptionnelle de prolongation du délai d’inscription des étudiants de Master et de Doctorat, leur permettant de payer la dernière tranche des droits correspondants.
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