Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a estimé jeudi à Abidjan, lors d’une conférence de presse, que « l’amnistie générale n’est pas possible », a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
«L’amnistie générale n’est pas possible. Il peut y avoir des amnisties individuelles mais pas collectives après les décisions de justice», a déclaré M. Duncan qui faisait le point de l’action gouvernementale dans son volet social.
Selon lui, tous ceux (pro-Ouattara et pro-Gbagbo) qui sont soupçonnés de quelque chose doivent passer devant la justice.
Par ailleurs, Daniel Kablan Duncan a exprimé la volonté du gouvernement de « continuer de tendre la main » au Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) pour le retour de ce parti à la table de négociation.
Devant la presse nationale et internationale, il s’est félicité de l’engagement des responsables des partis politiques membres du Cadre Permanent de Dialogue (CPD) dans le processus de décrispation.
"Cet engagement en faveur du dialogue a motivé le gouvernement à prendre d’importantes décisions allant dans le sens de la décrispation du climat politique, notamment, le retour d’exil de certains proches de l’ex-président Laurent Gbagbo" a justifié le Premier ministre Duncan soulignant que "le gouvernement continuera de tendre la main à nos frères du FPI afin qu’ils retournent à la table de négociation".
119 proches de Laurent Gbagbo sont rentrés du Ghana, Togo et Bénin où ils étaient en exil après la crise postélectorale qui a fait 3000 morts suite au refus de l’ancien président de céder le fauteuil présidentiel à Alassane Ouattara, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre 2010.
JBK/hs/ls/od/APA
«L’amnistie générale n’est pas possible. Il peut y avoir des amnisties individuelles mais pas collectives après les décisions de justice», a déclaré M. Duncan qui faisait le point de l’action gouvernementale dans son volet social.
Selon lui, tous ceux (pro-Ouattara et pro-Gbagbo) qui sont soupçonnés de quelque chose doivent passer devant la justice.
Par ailleurs, Daniel Kablan Duncan a exprimé la volonté du gouvernement de « continuer de tendre la main » au Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) pour le retour de ce parti à la table de négociation.
Devant la presse nationale et internationale, il s’est félicité de l’engagement des responsables des partis politiques membres du Cadre Permanent de Dialogue (CPD) dans le processus de décrispation.
"Cet engagement en faveur du dialogue a motivé le gouvernement à prendre d’importantes décisions allant dans le sens de la décrispation du climat politique, notamment, le retour d’exil de certains proches de l’ex-président Laurent Gbagbo" a justifié le Premier ministre Duncan soulignant que "le gouvernement continuera de tendre la main à nos frères du FPI afin qu’ils retournent à la table de négociation".
119 proches de Laurent Gbagbo sont rentrés du Ghana, Togo et Bénin où ils étaient en exil après la crise postélectorale qui a fait 3000 morts suite au refus de l’ancien président de céder le fauteuil présidentiel à Alassane Ouattara, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre 2010.
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