Abidjan – Robert Tashina, éditeur en chef pour l’Afrique d’Oxford Business Group, un cabinet d’intelligence économique et de conseil, estime qu’une nouvelle aube commence en Côte d’Ivoire depuis ces deux dernières années indiquant les "perspectives en Côte d’Ivoire sont de plus en plus optimistes".
« La Côte d’Ivoire profite d’une performance économique relativement robuste », s’est justifié Robert Tashina qui présentait, jeudi, le premier rapport sur la Côte d’Ivoire édité par l’un des leaders mondiaux de l’information économique et financière sur les économies émergentes de l’Afrique, du Moyen Orient, de l’Asie et de l’Amérique Latine.
Cette performance, a-t-il expliqué est liée à plusieurs facteurs internes externes notamment les ressources naturelles qui ouvrent la voie à la croissance, la richesse géologique du pays (pétrole et mine) qui renforcent les perspectives à long terme, la taille du marché qui offre des opportunités attrayantes et les infrastructures.
« Les stratégies et les programmes économiques du gouvernement jouent un rôle crucial en attirant l’investissement et en mettant en valeur certain secteur » relevant la mise en place du plan national de développement (PND).
Pour l’expert, les recherches effectuées sur 12 mois de 2012 à 2013, ont montré que la forte croissance de la Côte d’Ivoire au cours de ces 12 derniers mois, a fourni des bases solides sur lesquels le pays pourrait continuer à construire son environnement des affaires en reformant ses infrastructures, en améliorant la sécurité et en réduisant la bureaucratie.
« Bien que la croissance de l’économie ivoirienne enregistre des progrès impressionnants, il reste néanmoins certains défis à surmonter » a-t-il signifié, citant la stabilité sociopolitique qui reste un sujet délicat, le taux de pauvreté, les disparités régionales et le capital humain.
« L’information économique demeure un outil majeur d’attraction de l’investissement » a indiqué, pour sa part, le directeur général du centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Emmanuel Essis.
« Elle doit être disponible et surtout fiable et mieux encore impartial pour pouvoir permettre à l’investissement d’asseoir son choix sur des chiffres et des jugements objectif », a-t-il poursuivi précisant qu’Oxford Group offre une tribune privilégié pour la sensibilisation du milieu des affaires.
Pour le ministre du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME, Jean-Louis Billon, ce rapport constitue une boussole pour améliorer la situation économique tout en espérant que la publication régulière des rapports comme celui d’Oxford Group contribuera à la consolidation des efforts du gouvernement.
Le rapport "Côte d’Ivoire 2013" évalue les tendances et les développements de l’économie y compris la macroéconomie, les infrastructures, les services bancaires et les autres évolutions sectorielles.
(Aip)
kkf/tm
« La Côte d’Ivoire profite d’une performance économique relativement robuste », s’est justifié Robert Tashina qui présentait, jeudi, le premier rapport sur la Côte d’Ivoire édité par l’un des leaders mondiaux de l’information économique et financière sur les économies émergentes de l’Afrique, du Moyen Orient, de l’Asie et de l’Amérique Latine.
Cette performance, a-t-il expliqué est liée à plusieurs facteurs internes externes notamment les ressources naturelles qui ouvrent la voie à la croissance, la richesse géologique du pays (pétrole et mine) qui renforcent les perspectives à long terme, la taille du marché qui offre des opportunités attrayantes et les infrastructures.
« Les stratégies et les programmes économiques du gouvernement jouent un rôle crucial en attirant l’investissement et en mettant en valeur certain secteur » relevant la mise en place du plan national de développement (PND).
Pour l’expert, les recherches effectuées sur 12 mois de 2012 à 2013, ont montré que la forte croissance de la Côte d’Ivoire au cours de ces 12 derniers mois, a fourni des bases solides sur lesquels le pays pourrait continuer à construire son environnement des affaires en reformant ses infrastructures, en améliorant la sécurité et en réduisant la bureaucratie.
« Bien que la croissance de l’économie ivoirienne enregistre des progrès impressionnants, il reste néanmoins certains défis à surmonter » a-t-il signifié, citant la stabilité sociopolitique qui reste un sujet délicat, le taux de pauvreté, les disparités régionales et le capital humain.
« L’information économique demeure un outil majeur d’attraction de l’investissement » a indiqué, pour sa part, le directeur général du centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Emmanuel Essis.
« Elle doit être disponible et surtout fiable et mieux encore impartial pour pouvoir permettre à l’investissement d’asseoir son choix sur des chiffres et des jugements objectif », a-t-il poursuivi précisant qu’Oxford Group offre une tribune privilégié pour la sensibilisation du milieu des affaires.
Pour le ministre du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME, Jean-Louis Billon, ce rapport constitue une boussole pour améliorer la situation économique tout en espérant que la publication régulière des rapports comme celui d’Oxford Group contribuera à la consolidation des efforts du gouvernement.
Le rapport "Côte d’Ivoire 2013" évalue les tendances et les développements de l’économie y compris la macroéconomie, les infrastructures, les services bancaires et les autres évolutions sectorielles.
(Aip)
kkf/tm
