COTONOU - Les pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), doivent prendre des mesures et mettre en place des plans d'actions pour éliminer les lampes à incandescences avant la fin de 2016, a estimé ce mardi à Cotonou, Mme Olola Vieyra, représentant du programme des Nations Unies pour l'Environnement.
« Près de 60 % de la population de la CEDEAO n'a toujours pas accès à l'électricité et les ménages dépenses encore jusqu'à 20 % de leurs budgets pour un éclairage utilisant des sources de génération obsolètes et polluantes », a-t-elle déploré, regrettant le fait que « ce faible accès à l'électricité couplée au coût élevé des tarifs d'électricité sont des facteurs qui enfreignent l'essor des entreprises africaines ».
Ainsi, a-t-elle expliqué, en liaison avec la politique de la CEDEAO sur l'efficacité énergétique visant à mettre en oeuvre des mesures permettant d'économiser 2 000 mégawatts de capacité de production d'électricité à court terme, défini en 2012 et adoptée par les chefs d'Etat en 2013, l'initiative en lighten à travers son programme de partenariat mondial, accompagne les pays dans le développement de leur stratégie régional pour l'éclairage efficace.
« Une telle stratégie mise en oeuvre permettra d'assurer l' élimination à longs termes des lampes à incandescences et autres technologies inefficaces pour accélérer la transition vers des technologies d'éclairage plus innovantes et plus efficaces », a-t- elle affirmé.
De même, a-t-elle poursuivi, la mise en place de cette stratégie permettra également d'atteindre des réductions importantes de consommation d'énergie et de réaliser des économies financières, à travers l'harmonisation et la promotion des normes minimales de performances énergétiques.
« Près de 60 % de la population de la CEDEAO n'a toujours pas accès à l'électricité et les ménages dépenses encore jusqu'à 20 % de leurs budgets pour un éclairage utilisant des sources de génération obsolètes et polluantes », a-t-elle déploré, regrettant le fait que « ce faible accès à l'électricité couplée au coût élevé des tarifs d'électricité sont des facteurs qui enfreignent l'essor des entreprises africaines ».
Ainsi, a-t-elle expliqué, en liaison avec la politique de la CEDEAO sur l'efficacité énergétique visant à mettre en oeuvre des mesures permettant d'économiser 2 000 mégawatts de capacité de production d'électricité à court terme, défini en 2012 et adoptée par les chefs d'Etat en 2013, l'initiative en lighten à travers son programme de partenariat mondial, accompagne les pays dans le développement de leur stratégie régional pour l'éclairage efficace.
« Une telle stratégie mise en oeuvre permettra d'assurer l' élimination à longs termes des lampes à incandescences et autres technologies inefficaces pour accélérer la transition vers des technologies d'éclairage plus innovantes et plus efficaces », a-t- elle affirmé.
De même, a-t-elle poursuivi, la mise en place de cette stratégie permettra également d'atteindre des réductions importantes de consommation d'énergie et de réaliser des économies financières, à travers l'harmonisation et la promotion des normes minimales de performances énergétiques.