ABIDJAN - La Banque mondiale a apporté un appui "substantiel" en vue de stimuler la production de cinq cultures essentielles en Côte d’Ivoire, a appris Xinhua mardi auprès du ministère ivoirien de l’Agriculture.
L’Institution financière internationale a approuvé un appui de 50 millions de dollars (25 milliards de FCFA) de financements de l’Association internationale de développement (IDA) qui vont bénéficier à environ 120 000 paysans ivoiriens cultivant cinq produits de base à fort potentiel commercial sur le marché national et à l’international.
Pour le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire Madani Tall, ces cinq cultures que sont le cacao, le caoutchouc, le palmier à huile, la noix de cajou et le coton offrent d’excellentes perspectives en termes de demande du marché.
"Elles sont essentielles pour atténuer la pauvreté dans les zones rurales et vont accélérer la croissance économique de tout le pays", a expliqué M. Tall.
Pour celui-ci, la mise en oeuvre de ce projet apportera des opportunités d’emplois et des accroissements de revenus à de nombreux petits exploitants ivoiriens.
Le directeur pour le développement durable dans la Région Afrique Jamal Saghir a pour sa part énoncé que le développement agricole est un moteur essentiel de réduction de la pauvreté et d’expansion économique en Côte d’Ivoire et dans toute la région.
L’IDA se présente comme l’un des principaux organismes d’aide aux 81 pays les plus déshérités de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique.
Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et a représenté en moyenne 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, la moitié de ce montant environ étant destiné au continent africain.
L’Institution financière internationale a approuvé un appui de 50 millions de dollars (25 milliards de FCFA) de financements de l’Association internationale de développement (IDA) qui vont bénéficier à environ 120 000 paysans ivoiriens cultivant cinq produits de base à fort potentiel commercial sur le marché national et à l’international.
Pour le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire Madani Tall, ces cinq cultures que sont le cacao, le caoutchouc, le palmier à huile, la noix de cajou et le coton offrent d’excellentes perspectives en termes de demande du marché.
"Elles sont essentielles pour atténuer la pauvreté dans les zones rurales et vont accélérer la croissance économique de tout le pays", a expliqué M. Tall.
Pour celui-ci, la mise en oeuvre de ce projet apportera des opportunités d’emplois et des accroissements de revenus à de nombreux petits exploitants ivoiriens.
Le directeur pour le développement durable dans la Région Afrique Jamal Saghir a pour sa part énoncé que le développement agricole est un moteur essentiel de réduction de la pauvreté et d’expansion économique en Côte d’Ivoire et dans toute la région.
L’IDA se présente comme l’un des principaux organismes d’aide aux 81 pays les plus déshérités de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique.
Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et a représenté en moyenne 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, la moitié de ce montant environ étant destiné au continent africain.