− Excellence Monsieur le Premier Ministre,
− Madame et Messieurs les Ministres,
− Monsieur le Commissaire des Affaires Economiques de la Commission de l’Union Africaine,
− Madame la Directrice du Département Femme et Genre de la Commission de l’Union Africaine,
− Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
− Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales et du Système des Nations-Unies,
− Madame le Général de Brigade,
− Mesdames les Officiers supérieures, Officiers, Sous-officiers des forces militaires et para-militaires,
− Mesdames et Messieurs les Experts et les Panélistes,
− Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux de l’Administration Publique et Privée,
− Distingués Chefs Traditionnels et Religieux,
− Mesdames et Messieurs les Responsables des ONG et Associations de la Société Civile,
− Chers Amis de la Presse,
− Honorables Invités,
− Mesdames et Messieurs,
C’est pour moi une grande joie et un honneur de m’adresser à vous, à l’occasion du premier panel de haut niveau de l’Union Africaine, sur « l’Egalité de Genre et l’Autonomisation économique de la femme dans le contexte de l’Agenda post 2015 ».
Excellence Monsieur le Premier Ministre,
Malgré vos nombreuses charges, vous avez accepté de parrainer mais surtout de procéder vous-même, à l’ouverture officielle des travaux. L’importance que vous accordez aux préoccupations des femmes n’est plus à démontrer, eu égard aux avancées qui ont été opérées sous votre impulsion.
Veuillez recevoir ma profonde gratitude pour votre contribution au succès de ce panel, mais surtout, Monsieur le Premier Ministre, pour votre grande disponibilité à notre endroit, pour votre soutien et vos conseils avisés dans la conduite du département Solidarité, Famille, Femme, Enfant que vous avez bien voulu nous confier.
Qu’il me soit par la même occasion, permis d’adresser mes sincères remerciements, à Monsieur le Commissaire des Affaires Economiques de l’Union Africaine, à Madame la Directrice du Département Femme et Genre de l’Union Africaine, et à travers eux, à Son Excellence Madame Nkosazana Dlamini-Zuma, Présidente de la Commission de l’UA, et première Femme en Afrique à assumer cette fonction.
Recevez le traditionnel « Akwaba » à Abidjan, capital économique de la Côte d’Ivoire, à vous-même Monsieur le Commissaire, ainsi qu’à la forte délégation qui vous accompagne.
Je ne saurais continuer ma série de remerciements, sans relever la présence remarquée et très réconfortante de mes collègues, membres du gouvernement.
Madame et Messieurs les Ministres,
A ces salutations, je voudrais associer notre collègue venue du Zimbabwe, Madame la Vice- Ministre.
Chère sœur, Illustre Invitée à ce panel, malgré vos charges, vous avez tenu à faire le déplacement. Votre présence nous honore. Soyez-en sincèrement remerciée et recevez le témoignage de ma parfaite considération.
Je voudrais également remercier, avec votre permission :
- Mesdames et Messieurs les représentants du Corps diplomatique ;
- Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales, notamment les agences du Système des Nations-Unies ;
Recevez mon infinie gratitude pour l’intérêt et l’appui humain, matériel et financier que vous avez apportés à la réalisation de cette activité.
Enfin, aux Ministères Techniques et Structures Publiques et Privées, au District Autonome d’Abidjan, à la mairie du Plateau, aux ONG et Associations de la Société Civile, aux Autorités Traditionnelles et Religieuses,
J’adresse mes sincères remerciements, pour votre indéfectible soutien et pour votre présence remarquée, source d’encouragements, d’adhésions et de bénédictions pour le succès de ce Panel.
Mesdames et Messieurs,
Honorables invités,
L’adoption des OMD en septembre 2000, a été l’occasion d’une grande espérance dans le monde entier. Depuis cette date, d’énormes efforts ont été consentis en faveur de la réduction de la pauvreté, de la faim, des inégalités de genre et du relèvement de la qualité des services de santé et d’éducation.
A moins de deux ans de l’échéance prévue pour l’atteinte de ces objectifs, la mobilisation ne cesse de croître en vue de l’évaluation des efforts fournis et de l’élaboration d’un nouvel agenda pour les questions encore pendantes.
L’Union Africaine ne saurait se soustraire à une telle dynamique, d’autant plus qu’aujourd’hui, l’une de ces illustres filles, Son Excellence Madame Ellen Johnson Sirleaf, Présidente de la République sœur du Liberia, co-préside le Groupe de travail International sur l’Agenda de Développement post 2015.
Au regard de l’importance que revêt la réduction des inégalités pour le développement, il est apparu nécessaire de mener une réflexion continentale relative à l’atteinte des OMD et l’après 2015.
En cela, le groupe de travail annuel de haut niveau, mis place par les Ministres de l’Union
Africaine en charge des questions du genre, s’est donné comme premier thème de réflexion, l’autonomisation économique de la femme, avec pour défi la réduction des inégalités de genre, préalable au développement.
En effet, les indicateurs montrent que dans nos pays, malgré quelques avancées relevées ici et là, des disparités importantes subsistent encore, entre la femme et l’homme.
Ainsi, au plan socio-culturel, la femme reste toujours soumise à des contraintes fondées sur des normes et valeurs qui la confinent dans un jeu de rôles sociaux stéréotypés et dévalorisants.
Au plan économique, l’on assiste malheureusement à la féminisation de plus en plus préoccupante de la pauvreté. Le faible niveau d’instruction des Femmes, fait qu’elles éprouvent d’énormes difficultés à accéder aux sources de financement nécessaires à la réalisation d’activités génératrices de revenus.
Si au plan politique et juridique, elles ont toujours joué un rôle déterminant, fort est de reconnaître qu’elles intègrent hélas difficilement les sphères de prise de décisions.
On relève, par ailleurs, au plan juridique, l’existence de nombreuses lois qui sont insuffisamment appliquées pour permettre à la femme de s’épanouir et de bénéficier d’avantages légaux liés à son statut.
C’est donc face à ces constats, qu’il est apparu nécessaire d’organiser la présente tribune, baptisée Panel de haut niveau pour apporter une réponse énergique à l’amélioration des conditions de la femme sur notre continent.
Mesdames et Messieurs, Honorables Invités,
En Côte d’Ivoire, la volonté des pouvoirs publics de réduire la pauvreté et les disparités de genre est manifeste.
Cette volonté politique se traduit par les engagements, les efforts et les actions entrepris pour la scolarisation et l’achèvement des études de la petite fille et de la jeune fille ; pour l’alphabétisation des femmes et le financement d’activités génératrices de revenus, à travers notamment le Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) initié par Madame la Première Dame, Madame Dominique OUATTARA, à qui je réitère notre profonde gratitude et notre indéfectible attachement, et le Projet de Gestion Novatrice du Fonds National « Femmes et Développement » lancé depuis 2007 par le Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant.
Au plan de la protection juridique de la femme et de l’équité, l’engagement du gouvernement, en cohérence avec celle de l’Assemblée Nationale, a conduit en novembre 2012, à la réforme de la loi sur le mariage qui a permis une plus grande justice et implication plus forte de la femme dans la gestion du ménage.
Malgré ces avancées notables, la situation de la femme reste encore à améliorer.
C’est pourquoi, Mesdames et Messieurs les experts, vous avez été conviés à ce panel de haut niveau, pour réfléchir pendant ces trois jours, sur la thématique de l’égalité de genre et de l’autonomisation économique de la femme.
Je reste donc convaincue, que cette tribune de haut niveau nous permettra, au fil des éditions, de répondre à nos préoccupations propres, en vu de l’autonomisation économique effective de la femme africaine, pour le développement de nos pays respectifs.
Excellence Monsieur le Premier Ministre,
Chers (es) collègues membres du gouvernement,
Honorables Invités,
Mesdames et Messieurs,
Je voudrais à présent, inviter chacune et chacun des experts et des participants, à se tenir la main, dans une union sacrée, pour des échanges fructueux dans un esprit convivial, en vu de l’émergence et du développement de l’Afrique par les femmes et les hommes, ensemble.
Je ne saurais terminer mon propos, sans réitérer mes félicitations, à tous ceux qui ont contribués à l’organisation scientifique et pratique de ce panel, notamment : à nos partenaires des agences du système des Nations Unies, à travers la plateforme thématique genre ; à la Direction du développement du genre et de la Femme de l’Union Africaine ; aux Ministères d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, Ministère des Affaires Etrangères ; au Ministère de la Santé et de la lutte contre le VIH-SIDA, et enfin, à mes chers collaborateurs du Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, qui ont tout enduré et tout subi pour rendre les travaux de ce panel agréables et fructueux.
En leur nom à tous, je voudrais présenter nos sincères excuses à tous les panélistes, experts et invités, pour les désagréments déjà vécus ou que vous rencontrerez à l’occasion de votre séjour, et implorer votre indulgence.
Tous sont déterminés à se tenir à votre entière disposition, dans la fraternité et l’hospitalité chers aux ivoiriens et au Président de la République, pour un séjour mémorable sur les bords de la lagune Ébrié. J’y veillerai particulièrement.
Je vous remercie de votre aimable attention.
− Madame et Messieurs les Ministres,
− Monsieur le Commissaire des Affaires Economiques de la Commission de l’Union Africaine,
− Madame la Directrice du Département Femme et Genre de la Commission de l’Union Africaine,
− Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
− Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales et du Système des Nations-Unies,
− Madame le Général de Brigade,
− Mesdames les Officiers supérieures, Officiers, Sous-officiers des forces militaires et para-militaires,
− Mesdames et Messieurs les Experts et les Panélistes,
− Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux de l’Administration Publique et Privée,
− Distingués Chefs Traditionnels et Religieux,
− Mesdames et Messieurs les Responsables des ONG et Associations de la Société Civile,
− Chers Amis de la Presse,
− Honorables Invités,
− Mesdames et Messieurs,
C’est pour moi une grande joie et un honneur de m’adresser à vous, à l’occasion du premier panel de haut niveau de l’Union Africaine, sur « l’Egalité de Genre et l’Autonomisation économique de la femme dans le contexte de l’Agenda post 2015 ».
Excellence Monsieur le Premier Ministre,
Malgré vos nombreuses charges, vous avez accepté de parrainer mais surtout de procéder vous-même, à l’ouverture officielle des travaux. L’importance que vous accordez aux préoccupations des femmes n’est plus à démontrer, eu égard aux avancées qui ont été opérées sous votre impulsion.
Veuillez recevoir ma profonde gratitude pour votre contribution au succès de ce panel, mais surtout, Monsieur le Premier Ministre, pour votre grande disponibilité à notre endroit, pour votre soutien et vos conseils avisés dans la conduite du département Solidarité, Famille, Femme, Enfant que vous avez bien voulu nous confier.
Qu’il me soit par la même occasion, permis d’adresser mes sincères remerciements, à Monsieur le Commissaire des Affaires Economiques de l’Union Africaine, à Madame la Directrice du Département Femme et Genre de l’Union Africaine, et à travers eux, à Son Excellence Madame Nkosazana Dlamini-Zuma, Présidente de la Commission de l’UA, et première Femme en Afrique à assumer cette fonction.
Recevez le traditionnel « Akwaba » à Abidjan, capital économique de la Côte d’Ivoire, à vous-même Monsieur le Commissaire, ainsi qu’à la forte délégation qui vous accompagne.
Je ne saurais continuer ma série de remerciements, sans relever la présence remarquée et très réconfortante de mes collègues, membres du gouvernement.
Madame et Messieurs les Ministres,
A ces salutations, je voudrais associer notre collègue venue du Zimbabwe, Madame la Vice- Ministre.
Chère sœur, Illustre Invitée à ce panel, malgré vos charges, vous avez tenu à faire le déplacement. Votre présence nous honore. Soyez-en sincèrement remerciée et recevez le témoignage de ma parfaite considération.
Je voudrais également remercier, avec votre permission :
- Mesdames et Messieurs les représentants du Corps diplomatique ;
- Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales, notamment les agences du Système des Nations-Unies ;
Recevez mon infinie gratitude pour l’intérêt et l’appui humain, matériel et financier que vous avez apportés à la réalisation de cette activité.
Enfin, aux Ministères Techniques et Structures Publiques et Privées, au District Autonome d’Abidjan, à la mairie du Plateau, aux ONG et Associations de la Société Civile, aux Autorités Traditionnelles et Religieuses,
J’adresse mes sincères remerciements, pour votre indéfectible soutien et pour votre présence remarquée, source d’encouragements, d’adhésions et de bénédictions pour le succès de ce Panel.
Mesdames et Messieurs,
Honorables invités,
L’adoption des OMD en septembre 2000, a été l’occasion d’une grande espérance dans le monde entier. Depuis cette date, d’énormes efforts ont été consentis en faveur de la réduction de la pauvreté, de la faim, des inégalités de genre et du relèvement de la qualité des services de santé et d’éducation.
A moins de deux ans de l’échéance prévue pour l’atteinte de ces objectifs, la mobilisation ne cesse de croître en vue de l’évaluation des efforts fournis et de l’élaboration d’un nouvel agenda pour les questions encore pendantes.
L’Union Africaine ne saurait se soustraire à une telle dynamique, d’autant plus qu’aujourd’hui, l’une de ces illustres filles, Son Excellence Madame Ellen Johnson Sirleaf, Présidente de la République sœur du Liberia, co-préside le Groupe de travail International sur l’Agenda de Développement post 2015.
Au regard de l’importance que revêt la réduction des inégalités pour le développement, il est apparu nécessaire de mener une réflexion continentale relative à l’atteinte des OMD et l’après 2015.
En cela, le groupe de travail annuel de haut niveau, mis place par les Ministres de l’Union
Africaine en charge des questions du genre, s’est donné comme premier thème de réflexion, l’autonomisation économique de la femme, avec pour défi la réduction des inégalités de genre, préalable au développement.
En effet, les indicateurs montrent que dans nos pays, malgré quelques avancées relevées ici et là, des disparités importantes subsistent encore, entre la femme et l’homme.
Ainsi, au plan socio-culturel, la femme reste toujours soumise à des contraintes fondées sur des normes et valeurs qui la confinent dans un jeu de rôles sociaux stéréotypés et dévalorisants.
Au plan économique, l’on assiste malheureusement à la féminisation de plus en plus préoccupante de la pauvreté. Le faible niveau d’instruction des Femmes, fait qu’elles éprouvent d’énormes difficultés à accéder aux sources de financement nécessaires à la réalisation d’activités génératrices de revenus.
Si au plan politique et juridique, elles ont toujours joué un rôle déterminant, fort est de reconnaître qu’elles intègrent hélas difficilement les sphères de prise de décisions.
On relève, par ailleurs, au plan juridique, l’existence de nombreuses lois qui sont insuffisamment appliquées pour permettre à la femme de s’épanouir et de bénéficier d’avantages légaux liés à son statut.
C’est donc face à ces constats, qu’il est apparu nécessaire d’organiser la présente tribune, baptisée Panel de haut niveau pour apporter une réponse énergique à l’amélioration des conditions de la femme sur notre continent.
Mesdames et Messieurs, Honorables Invités,
En Côte d’Ivoire, la volonté des pouvoirs publics de réduire la pauvreté et les disparités de genre est manifeste.
Cette volonté politique se traduit par les engagements, les efforts et les actions entrepris pour la scolarisation et l’achèvement des études de la petite fille et de la jeune fille ; pour l’alphabétisation des femmes et le financement d’activités génératrices de revenus, à travers notamment le Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) initié par Madame la Première Dame, Madame Dominique OUATTARA, à qui je réitère notre profonde gratitude et notre indéfectible attachement, et le Projet de Gestion Novatrice du Fonds National « Femmes et Développement » lancé depuis 2007 par le Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant.
Au plan de la protection juridique de la femme et de l’équité, l’engagement du gouvernement, en cohérence avec celle de l’Assemblée Nationale, a conduit en novembre 2012, à la réforme de la loi sur le mariage qui a permis une plus grande justice et implication plus forte de la femme dans la gestion du ménage.
Malgré ces avancées notables, la situation de la femme reste encore à améliorer.
C’est pourquoi, Mesdames et Messieurs les experts, vous avez été conviés à ce panel de haut niveau, pour réfléchir pendant ces trois jours, sur la thématique de l’égalité de genre et de l’autonomisation économique de la femme.
Je reste donc convaincue, que cette tribune de haut niveau nous permettra, au fil des éditions, de répondre à nos préoccupations propres, en vu de l’autonomisation économique effective de la femme africaine, pour le développement de nos pays respectifs.
Excellence Monsieur le Premier Ministre,
Chers (es) collègues membres du gouvernement,
Honorables Invités,
Mesdames et Messieurs,
Je voudrais à présent, inviter chacune et chacun des experts et des participants, à se tenir la main, dans une union sacrée, pour des échanges fructueux dans un esprit convivial, en vu de l’émergence et du développement de l’Afrique par les femmes et les hommes, ensemble.
Je ne saurais terminer mon propos, sans réitérer mes félicitations, à tous ceux qui ont contribués à l’organisation scientifique et pratique de ce panel, notamment : à nos partenaires des agences du système des Nations Unies, à travers la plateforme thématique genre ; à la Direction du développement du genre et de la Femme de l’Union Africaine ; aux Ministères d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, Ministère des Affaires Etrangères ; au Ministère de la Santé et de la lutte contre le VIH-SIDA, et enfin, à mes chers collaborateurs du Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, qui ont tout enduré et tout subi pour rendre les travaux de ce panel agréables et fructueux.
En leur nom à tous, je voudrais présenter nos sincères excuses à tous les panélistes, experts et invités, pour les désagréments déjà vécus ou que vous rencontrerez à l’occasion de votre séjour, et implorer votre indulgence.
Tous sont déterminés à se tenir à votre entière disposition, dans la fraternité et l’hospitalité chers aux ivoiriens et au Président de la République, pour un séjour mémorable sur les bords de la lagune Ébrié. J’y veillerai particulièrement.
Je vous remercie de votre aimable attention.
