San Pedro – Une délégation du département "Cohésion sociale et réhabilitation communautaire" de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration des ex-combattants (ADDR), en mission d’identification des projets de réhabilitation communautaire dans la région du Sud Ouest, a sensibilisé les populations à accueillir les ex-combattants qui reviennent dans leur communauté afin d’y maintenir la cohésion sociale.
Le Chef du département "Cohésion sociale et réhabilitation communautaire", Zadi G. Norbert, faisant vendredi le point de la mission à la presse, a indiqué qu’après la phase de désarmement et démobilisation des ex-combattants, suit celle de la réinsertion et de la réintégration des ex-combattants qui ont identifiés par l’ADDR.
"Mais l’ADDR ne réalise ses projets de réhabilitation communautaire que là où un ex-combattant s’intègre", a soutenu M. Zadi en expliquant que l’installation d’un ex-combattant doit se faire dans une communauté d’accueil, qui bénéficiera de projets de réhabilitation communautaire.
Selon Zadi Norbert, il est important que les populations acceptent les ex-combattants retournés dans leurs bases afin de permettre à ceux-ci de se resocialiser.
La mission qui s’est tenue du 16 au 24 octobre a commencé dans la ville de San Pedro et deux villages de la sous-préfecture avant de se poursuivre dans les localités de Tabou, Grand Béréby et Soubré.
Le bureau régional de l’ADDR à San Pedro prend le relais de cette mission qui doit s’étendre sur l’ensemble du territoire national dans les communautés où vit l’un des 64 777 ex-combattants profilés.
Jmk/kam
Le Chef du département "Cohésion sociale et réhabilitation communautaire", Zadi G. Norbert, faisant vendredi le point de la mission à la presse, a indiqué qu’après la phase de désarmement et démobilisation des ex-combattants, suit celle de la réinsertion et de la réintégration des ex-combattants qui ont identifiés par l’ADDR.
"Mais l’ADDR ne réalise ses projets de réhabilitation communautaire que là où un ex-combattant s’intègre", a soutenu M. Zadi en expliquant que l’installation d’un ex-combattant doit se faire dans une communauté d’accueil, qui bénéficiera de projets de réhabilitation communautaire.
Selon Zadi Norbert, il est important que les populations acceptent les ex-combattants retournés dans leurs bases afin de permettre à ceux-ci de se resocialiser.
La mission qui s’est tenue du 16 au 24 octobre a commencé dans la ville de San Pedro et deux villages de la sous-préfecture avant de se poursuivre dans les localités de Tabou, Grand Béréby et Soubré.
Le bureau régional de l’ADDR à San Pedro prend le relais de cette mission qui doit s’étendre sur l’ensemble du territoire national dans les communautés où vit l’un des 64 777 ex-combattants profilés.
Jmk/kam
