Le directeur des Opérations de la Banque Mondiale, Madani Tall et la Ministre ivoirienne auprès du Premier Ministre chargé de l’Economie et des Finances, Nialé Kaba ont procédé, mardi dernier, à la signature de l’accord de crédit de l’Association Internationale de Développement (IDA) d’un montant de 25 milliards de FCFA, en présence du ministre de l’agriculture et de plusieurs responsables d’organismes internationaux.
Cette aide financière destinée au Projet d'Appui au Secteur Agricole (PSAC), vise à renforcer la valeur ajoutée des produits d'exportations. Les associations interprofessionnelles du Caoutchouc Naturel (APROMAC), celle du Palmier à Huile (AIPH) et le Conseil du Café- Cacao sont les principales bénéficiaires de ce fonds.
« La cérémonie de signature de ce jour est l'aboutissement de plusieurs mois de collaboration avec les différentes équipes gouvernementales et celle de la Banque Mondiale dont je voulais saluer le professionnalisme », a déclaré la ministre Nialé Kaba, lors de la signature de l'accord.
Le secteur agricole ivoirien a été affecté comme de nombreuses activités, par la crise qu'a traversée la Côte d'Ivoire pendant plus d'une décennie. La mutation de ce secteur vers une agriculture compétitive est l'une des priorités du gouvernement ivoirien.
« Le PSAC a donc pour objectif de relancer le développement agricole impulsé par le Président de la République à travers la mise en œuvre du Programme National de Développement. Le Projet devra favoriser l'amélioration du rendement des principales filières et la promotion des partenariats Public-Privé sur la base de responsabilité clairement définies par l'Etat » a précisé Mme Nialé Kaba.
Pour Madani Tall, « c'est un défi mutuel que chacune des parties, gouvernement, interprofessions comme partenaires, devrait relever pour prolonger l'action de l'Etat et accélérer la mise en œuvre des programmes de développement dans le secteur ».
« Les activités de ce projet sont articulées à la résolution des trois principales contraintes qui freinent ou ralentissent la pleine expression du potentiel de croissance des filières concernées », a ajouté M. Tall
Le projet d'Appui au Secteur Agricole a été cofinancé avec l'Agence Française de Développement (AFD) à hauteur de 18,2 milliards de FCFA.
Cette aide financière destinée au Projet d'Appui au Secteur Agricole (PSAC), vise à renforcer la valeur ajoutée des produits d'exportations. Les associations interprofessionnelles du Caoutchouc Naturel (APROMAC), celle du Palmier à Huile (AIPH) et le Conseil du Café- Cacao sont les principales bénéficiaires de ce fonds.
« La cérémonie de signature de ce jour est l'aboutissement de plusieurs mois de collaboration avec les différentes équipes gouvernementales et celle de la Banque Mondiale dont je voulais saluer le professionnalisme », a déclaré la ministre Nialé Kaba, lors de la signature de l'accord.
Le secteur agricole ivoirien a été affecté comme de nombreuses activités, par la crise qu'a traversée la Côte d'Ivoire pendant plus d'une décennie. La mutation de ce secteur vers une agriculture compétitive est l'une des priorités du gouvernement ivoirien.
« Le PSAC a donc pour objectif de relancer le développement agricole impulsé par le Président de la République à travers la mise en œuvre du Programme National de Développement. Le Projet devra favoriser l'amélioration du rendement des principales filières et la promotion des partenariats Public-Privé sur la base de responsabilité clairement définies par l'Etat » a précisé Mme Nialé Kaba.
Pour Madani Tall, « c'est un défi mutuel que chacune des parties, gouvernement, interprofessions comme partenaires, devrait relever pour prolonger l'action de l'Etat et accélérer la mise en œuvre des programmes de développement dans le secteur ».
« Les activités de ce projet sont articulées à la résolution des trois principales contraintes qui freinent ou ralentissent la pleine expression du potentiel de croissance des filières concernées », a ajouté M. Tall
Le projet d'Appui au Secteur Agricole a été cofinancé avec l'Agence Française de Développement (AFD) à hauteur de 18,2 milliards de FCFA.