La "Sécurité juridique" et la "stabilité fiscale" sont les principales conditions à satisfaire par la Côte d’Ivoire, pour encourager des entreprises françaises à "venir" y investir, a déclaré lundi à Abidjan la ministre française du Commerce extérieure, Nicole Bricq en mission à Abidjan avec des hommes d’affaires de son pays.
"Je crois que les opérateurs (économique) veulent venir, mais ils veulent venir dans des conditions de sécurité juridique", a affirmé Mme Bricq, qui est accompagné, dans le cadre de cette mission en Côte d’Ivoire, de 29 entreprises françaises, spécialisées notamment dans les domaines de la "sécurisation de la circulation de l’information, les infrastructures de transport, l’énergie".
"Nous sommes très attachés à ce que les entreprises françaises reviennent en Côte d’Ivoire (…)", a-t-elle assuré, soulignant que ces sociétés souhaitent "des procédures transparentes" dans le cadre des passations des marchés publics, "que tout le soit à armes égales", une "stabilité fiscale" et un "bon cadre juridique".
La Côte d’Ivoire s’est doté, en juin 2012, d’un nouveau code des investissements pour favoriser et promouvoir les investissements productifs, l’investissement vert et socialement responsables, mais également, encourager la création et le développement des activités orientées notamment vers la transformation de matières premières locales, la création d’emplois durables et décents.
Un guichet unique a été à cet effet créé pour réduire à 48 heures le temps de création d’une entreprise en Côte d’Ivoire.
Pour Nicole Bricq, les entreprises françaises font preuve d’"une responsabilité sociale et environnementale" dans les pays où elles sont implantées, ne sont pas gênées par la présence massives d’investisseurs d’autres pays en Afrique, "terre de concurrence".
Lors d’une visite d’Etat à Paris en janvier 2012, le président ivoirien Alassane Ouattara, avait appelé les entreprises françaises à revenir en Côte d’Ivoire, qui renouait avec la paix et la stabilité après une décennie de crise militro-politique.
«Je vous invite à vous associer à la renaissance ivoirienne et à reprendre vos investissements et je vous exhorte, Mesdames et Messieurs les chefs d’entreprises françaises, à accélérer votre retour en Côte d’Ivoire», avait-il exhorté à l’occasion d’une rencontre avec les patrons français au siège du MEDEF (Mouvement des entreprises de France).
"Je crois que les opérateurs (économique) veulent venir, mais ils veulent venir dans des conditions de sécurité juridique", a affirmé Mme Bricq, qui est accompagné, dans le cadre de cette mission en Côte d’Ivoire, de 29 entreprises françaises, spécialisées notamment dans les domaines de la "sécurisation de la circulation de l’information, les infrastructures de transport, l’énergie".
"Nous sommes très attachés à ce que les entreprises françaises reviennent en Côte d’Ivoire (…)", a-t-elle assuré, soulignant que ces sociétés souhaitent "des procédures transparentes" dans le cadre des passations des marchés publics, "que tout le soit à armes égales", une "stabilité fiscale" et un "bon cadre juridique".
La Côte d’Ivoire s’est doté, en juin 2012, d’un nouveau code des investissements pour favoriser et promouvoir les investissements productifs, l’investissement vert et socialement responsables, mais également, encourager la création et le développement des activités orientées notamment vers la transformation de matières premières locales, la création d’emplois durables et décents.
Un guichet unique a été à cet effet créé pour réduire à 48 heures le temps de création d’une entreprise en Côte d’Ivoire.
Pour Nicole Bricq, les entreprises françaises font preuve d’"une responsabilité sociale et environnementale" dans les pays où elles sont implantées, ne sont pas gênées par la présence massives d’investisseurs d’autres pays en Afrique, "terre de concurrence".
Lors d’une visite d’Etat à Paris en janvier 2012, le président ivoirien Alassane Ouattara, avait appelé les entreprises françaises à revenir en Côte d’Ivoire, qui renouait avec la paix et la stabilité après une décennie de crise militro-politique.
«Je vous invite à vous associer à la renaissance ivoirienne et à reprendre vos investissements et je vous exhorte, Mesdames et Messieurs les chefs d’entreprises françaises, à accélérer votre retour en Côte d’Ivoire», avait-il exhorté à l’occasion d’une rencontre avec les patrons français au siège du MEDEF (Mouvement des entreprises de France).