ABIDJAN - Le président de la Coalition de la Jeunesse Patriotique Pour la Paix et la Réconciliation ( CJPPR, mouvement proche de l'ex-président Laurent Gbagbo), Zadi Djédjé, a réitéré samedi à Abidjan la volonté des jeunes d'aller à la réconciliation nationale.
M. Djédjé, qui intervenait à l'issue d'une tournée dans la capitale économique ivoirienne, a exhorté les jeunes et les autorités à poser des actes forts pour une paix durable.
"Nous voulons mettre fin à la violence, à la guerre dans notre pays. L'heure est venue de désarmer nos coeurs. Il faut se pardonner pour qu'ensemble, nous puissions sauver la Côte d'Ivoire ", a-t-il déclaré.
Zadi Djédjé a par ailleurs demandé pardon à des leaders communautaires pour les actes commis par les "Jeunes patriotes".
Il a fait état de la nécessité du retour de tous les exilés pour prendre leur part dans la reconstruction du pays, se réjouissant des actions des autorités allant dans le sens de la décrispation.
Pour sa part, le leader de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (JFPI), Justin Koua, en tournée à l'est du pays a indiqué que les pro-Gbagbo sont "pressés" à aller à la réconciliation.
"La pacification du pays est une nécessité car sans paix il n'y a pas de développement", a-t-il souligné.
La Côte d'Ivoire tente de sortir d'une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
La réconciliation constitue le défi majeur à relever après la belligérance qui a opposé les pro-Gbagbo aux pro-Ouattara.
M. Djédjé, qui intervenait à l'issue d'une tournée dans la capitale économique ivoirienne, a exhorté les jeunes et les autorités à poser des actes forts pour une paix durable.
"Nous voulons mettre fin à la violence, à la guerre dans notre pays. L'heure est venue de désarmer nos coeurs. Il faut se pardonner pour qu'ensemble, nous puissions sauver la Côte d'Ivoire ", a-t-il déclaré.
Zadi Djédjé a par ailleurs demandé pardon à des leaders communautaires pour les actes commis par les "Jeunes patriotes".
Il a fait état de la nécessité du retour de tous les exilés pour prendre leur part dans la reconstruction du pays, se réjouissant des actions des autorités allant dans le sens de la décrispation.
Pour sa part, le leader de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (JFPI), Justin Koua, en tournée à l'est du pays a indiqué que les pro-Gbagbo sont "pressés" à aller à la réconciliation.
"La pacification du pays est une nécessité car sans paix il n'y a pas de développement", a-t-il souligné.
La Côte d'Ivoire tente de sortir d'une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
La réconciliation constitue le défi majeur à relever après la belligérance qui a opposé les pro-Gbagbo aux pro-Ouattara.