Des responsables des services humanitaires de Côte d'Ivoire et du Ghana ont entamé mercredi à Abidjan une concertation sur le retour des Ivoiriens ayant trouvé refuge en territoire ghanéen depuis la crise post-électorale.
Selon le coordonnateur du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) Timothée Ezouan, il s'agit de motiver les réfugiés ivoiriens au rapatriement volontaire de manière subséquente dynamiser le processus de retour.
"Sur 8.500 Ivoiriens qui avaient trouvé refuge au Ghana, peu de personnes ont accepté de rentrer", a révélé M. Ezouan.
A en croire celui-ci, la normalisation de la situation en Côte d'Ivoire doit achever de convaincre les réfugiés en terre ghanéenne sur la nécessité d'un retour sans inquiétude.
"Tous les indicateurs sont au vert. Le pays est au travail. Il faut qu'ils viennent prendre leur place dans le processus de reconstruction du pays", a insisté le coordonnateur du SAARA.
Timothée Ezouan a ainsi plaidé pour une sensibilisation accrue des réfugiés afin d'obtenir les résultats escomptés.
La Côte d'Ivoire retrouve de manière progressive la normalité après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
Selon des statistiques du SAARA, plus de 250.000 Ivoiriens avaient fui les affrontements meurtriers et pris le chemin de l' exil vers les pays limitrophes.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires dont le Haut- commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) multiplient les efforts pour amener les réfugiés ivoiriens à regagner le pays.
A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, invitant ceux-ci à revenir au bercail pour apporter leur contribution à la relance économique.
Selon le coordonnateur du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) Timothée Ezouan, il s'agit de motiver les réfugiés ivoiriens au rapatriement volontaire de manière subséquente dynamiser le processus de retour.
"Sur 8.500 Ivoiriens qui avaient trouvé refuge au Ghana, peu de personnes ont accepté de rentrer", a révélé M. Ezouan.
A en croire celui-ci, la normalisation de la situation en Côte d'Ivoire doit achever de convaincre les réfugiés en terre ghanéenne sur la nécessité d'un retour sans inquiétude.
"Tous les indicateurs sont au vert. Le pays est au travail. Il faut qu'ils viennent prendre leur place dans le processus de reconstruction du pays", a insisté le coordonnateur du SAARA.
Timothée Ezouan a ainsi plaidé pour une sensibilisation accrue des réfugiés afin d'obtenir les résultats escomptés.
La Côte d'Ivoire retrouve de manière progressive la normalité après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
Selon des statistiques du SAARA, plus de 250.000 Ivoiriens avaient fui les affrontements meurtriers et pris le chemin de l' exil vers les pays limitrophes.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires dont le Haut- commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) multiplient les efforts pour amener les réfugiés ivoiriens à regagner le pays.
A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, invitant ceux-ci à revenir au bercail pour apporter leur contribution à la relance économique.