Un groupe d’étudiants se réclamant de la défunte Fesci, a manifesté jeudi, à Cocody pour revendiquer ‘‘ la liberté syndicale le campus Félix Houphouët-Boigny’’, nous a-t-on rapporté le même jour. La Fédération estudiantine des étudiants de Côte d’Ivoire, bras armé de l’ancien régime des frontistes, a très souvent été accusée d’être l’instigateur des crises à répétition sur les campus, des actes d’intimidations politiques sur les étudiants, des violences et autres exactions commises à l’Ecole ainsi que dans la vie politique nationale.
Dissoute par les actuels dirigeants dès leur avènement au pouvoir, les noms des dirigeants historiques de cette organisation syndicale ont été interdits d’inscription dans l’ensemble des universités du pays. La grogne exprimée hier par des survivants de la Fesci, ressemble, est, à en croire des dirigeants de l’université Félix Houphouët-Boigny, tombée dans des oreilles de sourds. ‘‘ Nous comprenons ces nostalgiques; mais qu’ils sachent que la Fesci ne renaitra plus jamais. La politique a été bannie à l’Ecole. Le président Ouattara a mis le pays au travail et réhabilité les universités; il faudrait être amnésiques pour croire qu’il donnerait encore une chance au retour de la violence et de la barbarie sur les universités’’, martèle un responsable de l’université de Cocody.
Anna Marie T.
lhebdoivoirien@yahoo.fr
Dissoute par les actuels dirigeants dès leur avènement au pouvoir, les noms des dirigeants historiques de cette organisation syndicale ont été interdits d’inscription dans l’ensemble des universités du pays. La grogne exprimée hier par des survivants de la Fesci, ressemble, est, à en croire des dirigeants de l’université Félix Houphouët-Boigny, tombée dans des oreilles de sourds. ‘‘ Nous comprenons ces nostalgiques; mais qu’ils sachent que la Fesci ne renaitra plus jamais. La politique a été bannie à l’Ecole. Le président Ouattara a mis le pays au travail et réhabilité les universités; il faudrait être amnésiques pour croire qu’il donnerait encore une chance au retour de la violence et de la barbarie sur les universités’’, martèle un responsable de l’université de Cocody.
Anna Marie T.
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