L’association des ingénieurs du génie civil de Côte d’Ivoire veut prendre une part active dans la reconstruction du pays. A cet effet, une séance de travail a eu lieu, ce jeudi 12 décembre 2013, à la salle Delafosse du District d’Abidjan, en présence des anciens et des nouveaux de la corporation en vue de préparer efficacement le séminaire de ‘’sol béni’’ dont l’objectif est de repositionner le métier d’ingénieur sur l’échiquier national.
Cette rencontre, aux dires du Gouverneur Robert Beugré Mambé, doit faire le rappel des troupes au niveau des ingénieurs, exerçant dans tous les secteurs d’activités et ceux qui cherchent encore leur chemin de le monde de l’emploi en vue d’atteindre le résultat escompté. Pour le premier responsable du District d’Abidjan, lui-même, ingénieur diplômé de l’ex-enstp, les ingénieurs du génie civil ivoirien, qui sont des experts reconnus dans ce domaine, doivent se mobiliser pour contribuer à la réalisation des projets de grande envergure qui aideront la Côte d’Ivoire à émerger à l’horizon 2020.
Le séminaire du mercredi 18 décembre prochain, de 09h à 18h, au complexe ‘’sol béni’’ de l’Asec d’Abidjan, se veut un travail de laboratoire devant servir, de prime abord, de prétexte aux ingénieurs pour se ressouder avant de porter au grand jour les conclusions de leurs réflexions, a indiqué Beugré Mambé. Pour lui, si la Côte d’Ivoire veut devenir émergente en 2020, il faut que dès maintenant, les ingénieurs sortis de l’ex-enstp, qui ont fait les beaux jours de la Côte d’Ivoire s’unissent autour d’un même idéal. C’est pour quoi, il a lancé un appel solennel et pressant aux ingénieurs du génie civil de toutes les promotions successives de l’ENSTP, depuis 1967 à nos jours, pour une mobilisation exemplaire lors du séminaire de réflexion de sol béni. Il en est de même pour les ingénieurs formés à l’extérieur.
A la suite du Gouverneur Mambé, le ministre Ezan Akélé, le Président Félix Houphouët Boigny, avait tellement bien compris la quintessence du génie civil qu’il a construit l’Enstp, une école élitiste qui forme les spécialistes des travaux publics. Poursuivant, l’ex-ministre de la construction a affirmé que « l’avenir appartient à la science et à la technique et que les ingénieurs sont la science et la technique ». Par conséquent, ils ont décidé de prendre toute la place qui leur revient de droit dans les secteurs où ils sont les plus qualifiés. Car, conclura-t-il, la Côte d’Ivoire regorge de nombreux et compétents ingénieurs qui se mettent volontairement ou non en marge du développement souhaité par le Président Alassane Ouattara.
Notons que cinq (05) sous-thèmes vont meubler le séminaire de ‘’sol béni’’. A savoir : l’examen de la situation de l’école (Enstp), le statut du génie civil, la place de l’ingénieur du génie civil dans le BTP, la formation continue et la Maison de l’ingénieur. Les séminaristes devront plancher sérieusement sur ces sous-thèmes en atelier en vue de sortir un document de référence qui sera transmis aux décideurs politiques pour une prise de décision et une utilisation rationnelle des diplômés de l’Enstp, en général et des ingénieurs du génie civil, en particulier. Notons que plusieurs haut cadres du pays étaient à cette rencontre parmi lesquels on peut citer les ministres Désiré Gnonkonté, Calixe Yapo, Banzio Dagobert, Ezan Akélé.
Cette rencontre, aux dires du Gouverneur Robert Beugré Mambé, doit faire le rappel des troupes au niveau des ingénieurs, exerçant dans tous les secteurs d’activités et ceux qui cherchent encore leur chemin de le monde de l’emploi en vue d’atteindre le résultat escompté. Pour le premier responsable du District d’Abidjan, lui-même, ingénieur diplômé de l’ex-enstp, les ingénieurs du génie civil ivoirien, qui sont des experts reconnus dans ce domaine, doivent se mobiliser pour contribuer à la réalisation des projets de grande envergure qui aideront la Côte d’Ivoire à émerger à l’horizon 2020.
Le séminaire du mercredi 18 décembre prochain, de 09h à 18h, au complexe ‘’sol béni’’ de l’Asec d’Abidjan, se veut un travail de laboratoire devant servir, de prime abord, de prétexte aux ingénieurs pour se ressouder avant de porter au grand jour les conclusions de leurs réflexions, a indiqué Beugré Mambé. Pour lui, si la Côte d’Ivoire veut devenir émergente en 2020, il faut que dès maintenant, les ingénieurs sortis de l’ex-enstp, qui ont fait les beaux jours de la Côte d’Ivoire s’unissent autour d’un même idéal. C’est pour quoi, il a lancé un appel solennel et pressant aux ingénieurs du génie civil de toutes les promotions successives de l’ENSTP, depuis 1967 à nos jours, pour une mobilisation exemplaire lors du séminaire de réflexion de sol béni. Il en est de même pour les ingénieurs formés à l’extérieur.
A la suite du Gouverneur Mambé, le ministre Ezan Akélé, le Président Félix Houphouët Boigny, avait tellement bien compris la quintessence du génie civil qu’il a construit l’Enstp, une école élitiste qui forme les spécialistes des travaux publics. Poursuivant, l’ex-ministre de la construction a affirmé que « l’avenir appartient à la science et à la technique et que les ingénieurs sont la science et la technique ». Par conséquent, ils ont décidé de prendre toute la place qui leur revient de droit dans les secteurs où ils sont les plus qualifiés. Car, conclura-t-il, la Côte d’Ivoire regorge de nombreux et compétents ingénieurs qui se mettent volontairement ou non en marge du développement souhaité par le Président Alassane Ouattara.
Notons que cinq (05) sous-thèmes vont meubler le séminaire de ‘’sol béni’’. A savoir : l’examen de la situation de l’école (Enstp), le statut du génie civil, la place de l’ingénieur du génie civil dans le BTP, la formation continue et la Maison de l’ingénieur. Les séminaristes devront plancher sérieusement sur ces sous-thèmes en atelier en vue de sortir un document de référence qui sera transmis aux décideurs politiques pour une prise de décision et une utilisation rationnelle des diplômés de l’Enstp, en général et des ingénieurs du génie civil, en particulier. Notons que plusieurs haut cadres du pays étaient à cette rencontre parmi lesquels on peut citer les ministres Désiré Gnonkonté, Calixe Yapo, Banzio Dagobert, Ezan Akélé.