Les administrations publiques de Côte d’Ivoire seront désormais, soumises, à un classement annuel, a annoncé, jeudi, à Abidjan, le Secrétaire national à la Gouvernance et au renforcement des capacités, Sindou Méïté, au cours d’un déjeuner-débat organisé par la Chambre de commerce Belge en Côte d’Ivoire autour du thème « gouvernance et lutte contre la corruption: efforts récents du gouvernement et perspectives».
Un rapport annuel sera dressé à cet effet, pour faire l'état des lieux de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption dans les entreprises et administrations à capitaux publics les plus « interpellées de faits de corruption». Le rapport de cette année 2014 sera livré en mars prochain après avoir passé sur la table du gouvernement, mais, a précisé M. Méïté, ceux des prochaines années seront connus au plus tard chaque 10 janvier.
« C'est par l'exemplarité qu'on arrivera à bout de la corruption » a soutenu M. Méïté qui a, par ailleurs, annoncé la mise en place prochaine d'un observatoire qui sera un organe technique et scientifique, doté d'un numéro vert (102) pour la dénonciation des cas de corruption.
La Côte d'Ivoire dont l'administration publique est assujettie aux phénomènes de racket, de corruption et de concussion, fournit des efforts marqués par d'importants dispositifs juridico-administratifs pour réduire de façon drastique ces pratiques sur le territoire ivoirien. Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara a, récemment, créé la Haute autorité à la bonne gouvernance, présidée par le Magistrat René Aphing-Kouassi.
Les reformes, opérées notamment dans l'environnement des affaires, ont permis au pays d'être classé parmi les 10 meilleurs pays réformateurs dans le rapport Doing Business 2014. Les autorités ivoiriennes ambitionnent de positionner l'économie du pays dans le top 50 au cours des prochaines années.
La Côte d'Ivoire a perdu six places dans l'Indice de perception de la corruption 2013 de Transparency International publié début décembre dernier, en passant du 130e au 136e pays le plus corrompu au monde.
Sur le continent africain, le Botswana est le meilleur élève. C'est le premier pays où la corruption est moins perçue. La Côte d'Ivoire perd annuellement plus de 300 milliards de fcfa du fait du racket et de la corruption, selon des études menées par des institutions financières internationales dont la banque mondiale et d'autres partenaires au développement.
Un rapport annuel sera dressé à cet effet, pour faire l'état des lieux de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption dans les entreprises et administrations à capitaux publics les plus « interpellées de faits de corruption». Le rapport de cette année 2014 sera livré en mars prochain après avoir passé sur la table du gouvernement, mais, a précisé M. Méïté, ceux des prochaines années seront connus au plus tard chaque 10 janvier.
« C'est par l'exemplarité qu'on arrivera à bout de la corruption » a soutenu M. Méïté qui a, par ailleurs, annoncé la mise en place prochaine d'un observatoire qui sera un organe technique et scientifique, doté d'un numéro vert (102) pour la dénonciation des cas de corruption.
La Côte d'Ivoire dont l'administration publique est assujettie aux phénomènes de racket, de corruption et de concussion, fournit des efforts marqués par d'importants dispositifs juridico-administratifs pour réduire de façon drastique ces pratiques sur le territoire ivoirien. Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara a, récemment, créé la Haute autorité à la bonne gouvernance, présidée par le Magistrat René Aphing-Kouassi.
Les reformes, opérées notamment dans l'environnement des affaires, ont permis au pays d'être classé parmi les 10 meilleurs pays réformateurs dans le rapport Doing Business 2014. Les autorités ivoiriennes ambitionnent de positionner l'économie du pays dans le top 50 au cours des prochaines années.
La Côte d'Ivoire a perdu six places dans l'Indice de perception de la corruption 2013 de Transparency International publié début décembre dernier, en passant du 130e au 136e pays le plus corrompu au monde.
Sur le continent africain, le Botswana est le meilleur élève. C'est le premier pays où la corruption est moins perçue. La Côte d'Ivoire perd annuellement plus de 300 milliards de fcfa du fait du racket et de la corruption, selon des études menées par des institutions financières internationales dont la banque mondiale et d'autres partenaires au développement.