La Côte d’Ivoire a entamé la phase de préparation du mécanisme REDD+. Des processus politiques pertinents visant à atténuer les effets du changement climatique sont développés. Pour mener à bien ce processus un colloque dénommé ‘’GeoTech Forcarbonne 2014», se tient du 15 au 17 janvier à Abidjan.
Les spécialistes cherchent à freiner le réchauffement climatique. C’est dans ce cadre que se tient, depuis mardi, un colloque international sur «l’utilisation des technologies géo-spatiales pour la gestion durable des forêts et puits de carbone ». Les réflexions qui prendront fin aujourd’hui se déroulent au Centre de cartographie et de télédétection du Bureau national d'études techniques et de développement (Bnetd). Parmi les diverses solutions exploitables, la solution idoine envisagée par les experts est l’utilisation des forêts comme puits de carbone. Ce moyen, selon Kaba Nasséré, Directrice de cabinet du ministre de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable est une des solutions les plus efficaces pour éviter l’augmentation de la concentration des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Dans les pays en développement, le changement climatique constitue l’un des plus grands défis pour la croissance. La Côte d’Ivoire, à l’instar de bien d’autres pays subit déjà les effets de ce changement climatique avec une élévation constante de la température moyenne d’environ 0,3°C, depuis les dernières décennies. Pour la Directrice de cabinet, le mécanisme REDD+ est admis pour faire partie du nouveau régime ‘’climat post 2012’’ dans les négociations internationales sur les changements climatiques. «Notre pays y est engagé depuis 2011. L’intérêt pour notre pays d’adhérer et de s’investir dans ledit processus est justifié par la déforestation et la dégradation avancée de notre patrimoine forestier », a-t-elle signifié. C’est ainsi, selon elle, que la Côte d’Ivoire parviendra à faire face au tableau peu reluisant qui fait d’elle l’un des pays ayant le taux de déforestation des plus élevés. Dr Benoit Mertens, coordonnateur de Geoforafri, a réaffirmé son engagement à accompagner de telles initiatives. Le Directeur général du Bnetd, Pascal Kra a précisé que l’objectif du colloque est d’organiser une rencontre scientifique entre experts, chercheurs, enseignants-chercheurs, acteurs d’Ong et institutions publiques ayant des intérêts dans l’utilisation des technologies géo-spatiales.
B.SORO
Les spécialistes cherchent à freiner le réchauffement climatique. C’est dans ce cadre que se tient, depuis mardi, un colloque international sur «l’utilisation des technologies géo-spatiales pour la gestion durable des forêts et puits de carbone ». Les réflexions qui prendront fin aujourd’hui se déroulent au Centre de cartographie et de télédétection du Bureau national d'études techniques et de développement (Bnetd). Parmi les diverses solutions exploitables, la solution idoine envisagée par les experts est l’utilisation des forêts comme puits de carbone. Ce moyen, selon Kaba Nasséré, Directrice de cabinet du ministre de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable est une des solutions les plus efficaces pour éviter l’augmentation de la concentration des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Dans les pays en développement, le changement climatique constitue l’un des plus grands défis pour la croissance. La Côte d’Ivoire, à l’instar de bien d’autres pays subit déjà les effets de ce changement climatique avec une élévation constante de la température moyenne d’environ 0,3°C, depuis les dernières décennies. Pour la Directrice de cabinet, le mécanisme REDD+ est admis pour faire partie du nouveau régime ‘’climat post 2012’’ dans les négociations internationales sur les changements climatiques. «Notre pays y est engagé depuis 2011. L’intérêt pour notre pays d’adhérer et de s’investir dans ledit processus est justifié par la déforestation et la dégradation avancée de notre patrimoine forestier », a-t-elle signifié. C’est ainsi, selon elle, que la Côte d’Ivoire parviendra à faire face au tableau peu reluisant qui fait d’elle l’un des pays ayant le taux de déforestation des plus élevés. Dr Benoit Mertens, coordonnateur de Geoforafri, a réaffirmé son engagement à accompagner de telles initiatives. Le Directeur général du Bnetd, Pascal Kra a précisé que l’objectif du colloque est d’organiser une rencontre scientifique entre experts, chercheurs, enseignants-chercheurs, acteurs d’Ong et institutions publiques ayant des intérêts dans l’utilisation des technologies géo-spatiales.
B.SORO
