Abidjan- En visite jeudi dans les locaux de l’Agence ivoirienne de presse, le directeur général de la Radiodiffusion télévision ivoirienne, Hamadou Bakayoko, s’est dit satisfait du « partenariat gagnant-gagnant » qui lie sa structure à l’Agence ivoirienne de presse.
AIP : M. le directeur, c’est la première fois qu’un directeur général de la RTI rend officiellement visite à l’AIP. Peut-on en connaitre l’objet ?
Hamadou Bakayoko : C’est d’abord une visite d’amitié. Nous travaillons ensemble au sein du ministère de la Communication sur des problématiques communes et donc aujourd’hui je suis venu rendre visite à nos « cousins » de l’AIP pour découvrir la structure et échanger sur le partenariat qui nous lie, en vue de le renforcer.
AIP : Peut-on avoir une idée de l’état de ce partenariat ?
Hamadou Bakayoko : C’est un partenariat dans lequel chacun apporte ce qu’il sait faire. Nous pouvons nous appuyer sur le réseau très étendu de correspondants de l’AIP qui nous a été présenté dans le détail avec près de 55 correspondants régionaux et 14 bureaux. C’est fort utile, pour nous, parce que lorsque l’actualité le requiert, nous avons la possibilité de nous appuyer sur l’AIP pour avoir des éléments radio ou télé issus de ces régions avec une information rapide. Et pour notre part, nous permettons à l’AIP de communiquer sur un certain nombre de ses prestations vis-à-vis du grand public. C’est donc un partenariat gagnant-gagnant que je me réjouis d’avoir signé récemment pour une nouvelle année.
AIP : L’actualité aujourd’hui tourne autour du passage au numérique et la libéralisation du paysage audiovisuel auxquels se prépare la RTI. Comment envisagez-vous le partenariat avec l’AIP dans ce nouveau contexte ?
Hamadou Bakayoko : Nous avons fait un partage d’expérience et nous avons parlé de choses qui, si elles ne sont pas directement liées au partenariat, nous concernent également. L’AIP nous a présenté un certain nombre d’enjeux liés à la concurrence qu’elle subit et d’adaptations qu’elle a dû faire de son mode de fonctionnement. Nous en avons tiré quelques enseignements parce que nous serons nous aussi confrontés à la concurrence. A notre niveau, nous avons donné quelques indications sur la manière dont nous traitons nos problématiques. Nous n’avons pas directement parlé du sujet qui nous concerne mais nous avons échangé nos expériences parce que nous sommes sur des problématiques proches et c’est fort utile pour la collaboration entre nos deux structures.
AIP : La RTI vient de célébrer son cinquantenaire. L’AIP prépare la commémoration du sien qui aura lieu bientôt. Avez-vous évoqué l’apport que la RTI pourrait apporter à la couverture médiatique de cet événement ?
Hamadou Bakayoko : Je serai un spectateur mais je suis très ravi de ce cinquantenaire de notre associé. Nous avons expliqué à Mme la directrice la manière dont les choses se sont déroulées pour nous. Et nous serons ravis d’aider l’AIP, si elle nous le demande, en termes de communication, à célébrer l’événement avec tout le faste qui sied.
Aaa/kkp/kam
AIP : M. le directeur, c’est la première fois qu’un directeur général de la RTI rend officiellement visite à l’AIP. Peut-on en connaitre l’objet ?
Hamadou Bakayoko : C’est d’abord une visite d’amitié. Nous travaillons ensemble au sein du ministère de la Communication sur des problématiques communes et donc aujourd’hui je suis venu rendre visite à nos « cousins » de l’AIP pour découvrir la structure et échanger sur le partenariat qui nous lie, en vue de le renforcer.
AIP : Peut-on avoir une idée de l’état de ce partenariat ?
Hamadou Bakayoko : C’est un partenariat dans lequel chacun apporte ce qu’il sait faire. Nous pouvons nous appuyer sur le réseau très étendu de correspondants de l’AIP qui nous a été présenté dans le détail avec près de 55 correspondants régionaux et 14 bureaux. C’est fort utile, pour nous, parce que lorsque l’actualité le requiert, nous avons la possibilité de nous appuyer sur l’AIP pour avoir des éléments radio ou télé issus de ces régions avec une information rapide. Et pour notre part, nous permettons à l’AIP de communiquer sur un certain nombre de ses prestations vis-à-vis du grand public. C’est donc un partenariat gagnant-gagnant que je me réjouis d’avoir signé récemment pour une nouvelle année.
AIP : L’actualité aujourd’hui tourne autour du passage au numérique et la libéralisation du paysage audiovisuel auxquels se prépare la RTI. Comment envisagez-vous le partenariat avec l’AIP dans ce nouveau contexte ?
Hamadou Bakayoko : Nous avons fait un partage d’expérience et nous avons parlé de choses qui, si elles ne sont pas directement liées au partenariat, nous concernent également. L’AIP nous a présenté un certain nombre d’enjeux liés à la concurrence qu’elle subit et d’adaptations qu’elle a dû faire de son mode de fonctionnement. Nous en avons tiré quelques enseignements parce que nous serons nous aussi confrontés à la concurrence. A notre niveau, nous avons donné quelques indications sur la manière dont nous traitons nos problématiques. Nous n’avons pas directement parlé du sujet qui nous concerne mais nous avons échangé nos expériences parce que nous sommes sur des problématiques proches et c’est fort utile pour la collaboration entre nos deux structures.
AIP : La RTI vient de célébrer son cinquantenaire. L’AIP prépare la commémoration du sien qui aura lieu bientôt. Avez-vous évoqué l’apport que la RTI pourrait apporter à la couverture médiatique de cet événement ?
Hamadou Bakayoko : Je serai un spectateur mais je suis très ravi de ce cinquantenaire de notre associé. Nous avons expliqué à Mme la directrice la manière dont les choses se sont déroulées pour nous. Et nous serons ravis d’aider l’AIP, si elle nous le demande, en termes de communication, à célébrer l’événement avec tout le faste qui sied.
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