Le personnel du ministère de la Promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs et le mouvement sportif ivoirien et les organisations de jeunesse ont sacrifié à la tradition, le jeudi 15 janvier 2014, lors de la cérémonie de présentation de v?ux de nouvel an au ministre Alain Lobognon. Une tribune toute trouvée par le patron du département de la Jeunesse et des Sports pour inviter les acteurs du monde sportif à un «sursaut national en vue de sauver le sport en Côte d’Ivoire». Avant d’exhorter les responsables des organisations de jeunesse à «impulser la participation de la jeunesse à la réalisation d’activités d’intérêt communautaire».
Retraçant les 14 mois de collaboration avec le mouvement sportif ivoirien, le ministre a dit avoir tiré beaucoup d’enseignements. S’il était convaincu qu’il était difficile de pratiquer le sport, le ministre reconnait aussi «qu’il est tout aussi difficile de l’administrer». Non sans avoir féliciter les dirigeants sportifs dont la volonté de gagner et la détermination à engager les athlètes dans les compétitions internationales ont permis à la Côte d’Ivoire de remporter 67 médailles (25 Or, 19 Argent, 23 Bronze). Et cela malgré la mise à disposition tardive des ressources financières. Une véritable faiblesse du modèle de financement du sport en Côte d’Ivoire qu’Alain Lobognon entend résorber avec la Loi sur le sport dont «l’avant-projet vient d’ailleurs d’être analysé au cours du dernier Conseil de Gouvernement». Le sport de qualité et de haut niveau s’accommodant d’infrastructures sportives adéquates, le ministre Alain Lobognon se «propose de lancer au cours de cette année le Programme de Réhabilitation et de construction des infrastructures sportives». Au chapitre de la jeunesse, il a expliqué les raisons des reports successifs du processus de mise en place des organes du Conseil national de la jeunesse de Côte d’Ivoire (CNJCI). Il dit avoir ?uvré dans le but de «préserver les acquis du passé» à travers une meilleure participation des organisations de jeunesse. Et aussi de tout mettre en ?uvre afin de ne pas dévoyer les objectifs du CNJCI. Le Fonds national de la Jeunesse (FNJ), a dit Alain Lobognon, fera sa montée en puissance. Il a d’ailleurs invité les jeunes (16-35 ans) à solliciter massivement le FNJ qui, en six mois, a financé 51 projets qui ont permis de créer 1171 emplois directs et 3825 emplois indirects. Il a loué le rôle indispensable que jouent les organisations et fédérations de jeunesse dans l’encadrement des jeunes.
OG
Retraçant les 14 mois de collaboration avec le mouvement sportif ivoirien, le ministre a dit avoir tiré beaucoup d’enseignements. S’il était convaincu qu’il était difficile de pratiquer le sport, le ministre reconnait aussi «qu’il est tout aussi difficile de l’administrer». Non sans avoir féliciter les dirigeants sportifs dont la volonté de gagner et la détermination à engager les athlètes dans les compétitions internationales ont permis à la Côte d’Ivoire de remporter 67 médailles (25 Or, 19 Argent, 23 Bronze). Et cela malgré la mise à disposition tardive des ressources financières. Une véritable faiblesse du modèle de financement du sport en Côte d’Ivoire qu’Alain Lobognon entend résorber avec la Loi sur le sport dont «l’avant-projet vient d’ailleurs d’être analysé au cours du dernier Conseil de Gouvernement». Le sport de qualité et de haut niveau s’accommodant d’infrastructures sportives adéquates, le ministre Alain Lobognon se «propose de lancer au cours de cette année le Programme de Réhabilitation et de construction des infrastructures sportives». Au chapitre de la jeunesse, il a expliqué les raisons des reports successifs du processus de mise en place des organes du Conseil national de la jeunesse de Côte d’Ivoire (CNJCI). Il dit avoir ?uvré dans le but de «préserver les acquis du passé» à travers une meilleure participation des organisations de jeunesse. Et aussi de tout mettre en ?uvre afin de ne pas dévoyer les objectifs du CNJCI. Le Fonds national de la Jeunesse (FNJ), a dit Alain Lobognon, fera sa montée en puissance. Il a d’ailleurs invité les jeunes (16-35 ans) à solliciter massivement le FNJ qui, en six mois, a financé 51 projets qui ont permis de créer 1171 emplois directs et 3825 emplois indirects. Il a loué le rôle indispensable que jouent les organisations et fédérations de jeunesse dans l’encadrement des jeunes.
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