Abidjan - Lancée en avril 2013 dans le nord du pays, l’opération d’identification des ex-combattants blessés et invalides s’achève mercredi au Centre-pilote de Port-Bouët à Abidjan, annoncent les organisateurs.
« L’opération s’achève demain (mercredi). Nous avons visité toutes les régions du pays. A Abidjan, nous finissons à Port-Bouët après Yopougon », a indiqué mardi à l’AIP, un collaborateur du coordonnateur de l’opération, le colonel major Sinima Bamba.
La liste des blessés de 2002 à 2011 sera remise à l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR) puis au président de la République qui l’a commanditée.
Cette opération fait suite à la décision du chef de l'État ivoirien, Alassane Ouattara, de faire en sorte que les ex-combattants blessés de guerre et mutilés soient pris en compte de façon particulière par l'État ivoirien.
Elle concerne les ex-combattants invalides du fait d'une incapacité physique ou mentale, des personnes blessées ou mutilées pendant les combats ou dans l'environnement des combats.
« Qu'il s'agisse de miliciens, de groupes d'auto-défense, de combattants Dozos (chasseurs traditionnels) ou d'autres combattants, les ex-belligérants sont pris en compte pourvu qu'ils aient été profilés et désarmés », avait expliqué le colonel major Sinima Bamba, lors du lancement de l’opération.
Il avait insisté sur la fiabilité des informations à fournir, notant que les personnes concernées devront expliquer dans quelles circonstances elles ont été blessées.
Plusieurs jeunes ivoiriens avaient pris les armes au plus fort de la crise militaro-politique (2002-2011) pour combattre aux côtés des belligérants de tous bords.
Lors d'une tournée dans le nord du pays, le Président Alassane Ouattara avait assuré qu'il n'y aurait pas de laissés-pour-compte parmi les ex-belligérants.
(AIP)
Aaa/kkp/tm
« L’opération s’achève demain (mercredi). Nous avons visité toutes les régions du pays. A Abidjan, nous finissons à Port-Bouët après Yopougon », a indiqué mardi à l’AIP, un collaborateur du coordonnateur de l’opération, le colonel major Sinima Bamba.
La liste des blessés de 2002 à 2011 sera remise à l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR) puis au président de la République qui l’a commanditée.
Cette opération fait suite à la décision du chef de l'État ivoirien, Alassane Ouattara, de faire en sorte que les ex-combattants blessés de guerre et mutilés soient pris en compte de façon particulière par l'État ivoirien.
Elle concerne les ex-combattants invalides du fait d'une incapacité physique ou mentale, des personnes blessées ou mutilées pendant les combats ou dans l'environnement des combats.
« Qu'il s'agisse de miliciens, de groupes d'auto-défense, de combattants Dozos (chasseurs traditionnels) ou d'autres combattants, les ex-belligérants sont pris en compte pourvu qu'ils aient été profilés et désarmés », avait expliqué le colonel major Sinima Bamba, lors du lancement de l’opération.
Il avait insisté sur la fiabilité des informations à fournir, notant que les personnes concernées devront expliquer dans quelles circonstances elles ont été blessées.
Plusieurs jeunes ivoiriens avaient pris les armes au plus fort de la crise militaro-politique (2002-2011) pour combattre aux côtés des belligérants de tous bords.
Lors d'une tournée dans le nord du pays, le Président Alassane Ouattara avait assuré qu'il n'y aurait pas de laissés-pour-compte parmi les ex-belligérants.
(AIP)
Aaa/kkp/tm