ABIDJAN - Une réunion "extraordinaire" des ministres des pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) s’ouvre jeudi à Abidjan pour examiner le projet de réforme de l’institution.
L’annonce a été faite par le président de la Commission de la CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo, au sortir d’une audience mardi à Abidjan avec le président ivoirien Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la CEDEAO.
La réunion "extraordinaire" du conseil des ministres de la CEDEAO aura à débattre du projet de réforme de l’institution sous-régionale "dans la droite ligne des recommandations de la 43ème session ordinaire de la CEDEAO", a indiqué M. Kadré Ouédraogo.
A l’issue de cette session qui s’est tenue à Abuja (Nigeria) en juillet 2013, il a été décidé de l’augmentation du personnel de la Commission "en élargissant, par exemple, le nombre de Commissaires qui devra passer de neuf actuellement à 15", a-t-il ajouté.
Le sommet avait décidé d’allouer des "positions statutaires" au sein de la Commission pour chacun des 15 pays membres de la CEDEAO par la nomination d’un commissaire pour chacun des 15 secteurs d’activité définis.
Le sommet avait également décidé de pourvoir aux "postes statutaires" venus à expiration dans les autres institutions de la CEDEAO, notamment, le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (Giaba), l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) et la Cour de justice communautaire.
L’annonce a été faite par le président de la Commission de la CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo, au sortir d’une audience mardi à Abidjan avec le président ivoirien Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la CEDEAO.
La réunion "extraordinaire" du conseil des ministres de la CEDEAO aura à débattre du projet de réforme de l’institution sous-régionale "dans la droite ligne des recommandations de la 43ème session ordinaire de la CEDEAO", a indiqué M. Kadré Ouédraogo.
A l’issue de cette session qui s’est tenue à Abuja (Nigeria) en juillet 2013, il a été décidé de l’augmentation du personnel de la Commission "en élargissant, par exemple, le nombre de Commissaires qui devra passer de neuf actuellement à 15", a-t-il ajouté.
Le sommet avait décidé d’allouer des "positions statutaires" au sein de la Commission pour chacun des 15 pays membres de la CEDEAO par la nomination d’un commissaire pour chacun des 15 secteurs d’activité définis.
Le sommet avait également décidé de pourvoir aux "postes statutaires" venus à expiration dans les autres institutions de la CEDEAO, notamment, le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (Giaba), l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) et la Cour de justice communautaire.