Le ministre délégué au Budget, Cissé Abdourahmane donne le ton. Deux mois après sa nomination, il affiche sa méthode de travail. Celle d’avoir un regard sur les structures sous tutelle. Il a visité, jeudi 16 janvier, les services des Impôts et de la Douane, deux structures qui comptent dans l’atteinte des objectifs à lui assignés.
La mobilisation des recettes fiscales et sa bonne gestion pour les dépenses de l’Etat. Dans la première régie, le ministre a exhorté les agents à redoubler d’efforts, pour l’atteinte des objectifs fiscaux et des objectifs de recettes assignés (1.588 milliards de Fcfa). A la douane, il a tenu le même discours où (1.245,9 milliards de Fcfa sont attendus). Mais au-delà, l’argentier national a envoyé un signal fort à ses collaborateurs.
C’est à la Direction général du budget et des Finances (Dgbf), structure capitale dans l’atteinte de ses objectifs, que Cissé Abdourahmane s’est voulu plus direct avec ses collaborateurs. «Nous allons auditer régulièrement les bilans déposés par les différents services. Un accent particulier sera mis sur le renforcement des contrôles. Efficacité, résultats…
Les défis qui nous attendent requièrent l’implication de tous ainsi que l’intégrité et l’honnêteté. Je veillerai personnellement à l’application des sanctions en cas de fraude », a-t-il prévenu. Le
Directeur général de la Dgbf, Traoré Seydou, a indiqué que sa structure se donne les moyens d’assumer ses fonctions principales ; à savoir, la préparation du budget de l’Etat, le contrôle budgétaire et l’évaluation des dépenses publiques.
Toutes choses qui passeront par une amélioration du processus d’élaboration du budget à travers la réduction des étapes de préparation et l’optimisation de l’allocation des ressources, la poursuite de la modernisation des outils de gestion budgétaire visant à renforcer la transparence, l’efficience et l’efficacité de la dépense publique, l’amélioration du suivi de l’exécution des dépenses d’investissements publics. Enfin relever le taux de réalisation de ces dépenses qui contribuent à l’atteinte des objectifs de croissance économique, le renforcement et l’amélioration du contrôle ainsi que l’évaluation des dépenses publiques.
Le ministre Cissé a, quant à lui, insisté sur le contrôle en vue d’une bonne optimisation des dépenses et du budget. Jugé pragmatique et ponctuel, il se veut à la hauteur du challenge. Ce jeune polytechnicien à la tête bien faite, est passé par la présidence comme conseiller et a dirigé le cabinet du ministère de l’Economie et des Finances.
Aujourd’hui, selon un proche collaborateur, il est prêt à relever le défi de la bonne conduite du budget national
La mobilisation des recettes fiscales et sa bonne gestion pour les dépenses de l’Etat. Dans la première régie, le ministre a exhorté les agents à redoubler d’efforts, pour l’atteinte des objectifs fiscaux et des objectifs de recettes assignés (1.588 milliards de Fcfa). A la douane, il a tenu le même discours où (1.245,9 milliards de Fcfa sont attendus). Mais au-delà, l’argentier national a envoyé un signal fort à ses collaborateurs.
C’est à la Direction général du budget et des Finances (Dgbf), structure capitale dans l’atteinte de ses objectifs, que Cissé Abdourahmane s’est voulu plus direct avec ses collaborateurs. «Nous allons auditer régulièrement les bilans déposés par les différents services. Un accent particulier sera mis sur le renforcement des contrôles. Efficacité, résultats…
Les défis qui nous attendent requièrent l’implication de tous ainsi que l’intégrité et l’honnêteté. Je veillerai personnellement à l’application des sanctions en cas de fraude », a-t-il prévenu. Le
Directeur général de la Dgbf, Traoré Seydou, a indiqué que sa structure se donne les moyens d’assumer ses fonctions principales ; à savoir, la préparation du budget de l’Etat, le contrôle budgétaire et l’évaluation des dépenses publiques.
Toutes choses qui passeront par une amélioration du processus d’élaboration du budget à travers la réduction des étapes de préparation et l’optimisation de l’allocation des ressources, la poursuite de la modernisation des outils de gestion budgétaire visant à renforcer la transparence, l’efficience et l’efficacité de la dépense publique, l’amélioration du suivi de l’exécution des dépenses d’investissements publics. Enfin relever le taux de réalisation de ces dépenses qui contribuent à l’atteinte des objectifs de croissance économique, le renforcement et l’amélioration du contrôle ainsi que l’évaluation des dépenses publiques.
Le ministre Cissé a, quant à lui, insisté sur le contrôle en vue d’une bonne optimisation des dépenses et du budget. Jugé pragmatique et ponctuel, il se veut à la hauteur du challenge. Ce jeune polytechnicien à la tête bien faite, est passé par la présidence comme conseiller et a dirigé le cabinet du ministère de l’Economie et des Finances.
Aujourd’hui, selon un proche collaborateur, il est prêt à relever le défi de la bonne conduite du budget national