Man – Les autorités sanitaires et partenaires au développement ont appelé, dimanche à Man, lors de la 61ème Journée mondiale de la lèpre, à la mobilisation générale pour l’élimination de cette maladie invalidante en Côte d’Ivoire.
Si depuis 2001 avec un taux de prévalence nationale de moins de 1 malades pour 10 000 habitants la lèpre ne constitue plus un problème de santé publique, la situation demeure préoccupante dans des districts sanitaires tels qu’à Adzopé, Oumé, Zouan-hounien et Man, relève-t-on.
«Le Ministère va s’employer à mettre en œuvre des stratégies spécifiques pour l’élimination de la lèpre dans ces zones en particuliers et dans tout le pays en général», a promis le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida, Douhou Pierre.
La 61ème journée des lépreux a une fois de plus été l’occasion pour rappeler que la lèpre se guérit grâce à la polychimiothérapie. La guérison est sans séquelle si dépistée tôt, ajoute-t-on.
Aussi, les intervenant ont encouragé les populations à se présenter dans un centre de santé dès qu’elles constatent sur le corps une tache blanchâtre insensible au touché.
Des dons en nature constitués de vivres et de non vivres d’une valeur de 925000 FCFA ont été distribués à 30 malades au cours de cette 61ème édition de Man. La journée mondiale de la lutte contre la lèpre étant instituée pour sensibiliser et pour marquer la solidarité de la communauté avec les malades de la lèpre.
En fin d’année 2012, l’OMS a estimé à 232 mille, le nombre de malades de la lèpre dans le monde, et à un million, le nombre de personnes présentant des invalidités dues à cette maladie.
En Côte d’Ivoire, au 31 décembre 2013, 1 169 nouveaux cas de lèpre ont été dépistés avec 209 cas d’infirmités. Neuf-cent trente-deux malades sont actuellement en traitement, indique-t-on.
Si depuis 2001 avec un taux de prévalence nationale de moins de 1 malades pour 10 000 habitants la lèpre ne constitue plus un problème de santé publique, la situation demeure préoccupante dans des districts sanitaires tels qu’à Adzopé, Oumé, Zouan-hounien et Man, relève-t-on.
«Le Ministère va s’employer à mettre en œuvre des stratégies spécifiques pour l’élimination de la lèpre dans ces zones en particuliers et dans tout le pays en général», a promis le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida, Douhou Pierre.
La 61ème journée des lépreux a une fois de plus été l’occasion pour rappeler que la lèpre se guérit grâce à la polychimiothérapie. La guérison est sans séquelle si dépistée tôt, ajoute-t-on.
Aussi, les intervenant ont encouragé les populations à se présenter dans un centre de santé dès qu’elles constatent sur le corps une tache blanchâtre insensible au touché.
Des dons en nature constitués de vivres et de non vivres d’une valeur de 925000 FCFA ont été distribués à 30 malades au cours de cette 61ème édition de Man. La journée mondiale de la lutte contre la lèpre étant instituée pour sensibiliser et pour marquer la solidarité de la communauté avec les malades de la lèpre.
En fin d’année 2012, l’OMS a estimé à 232 mille, le nombre de malades de la lèpre dans le monde, et à un million, le nombre de personnes présentant des invalidités dues à cette maladie.
En Côte d’Ivoire, au 31 décembre 2013, 1 169 nouveaux cas de lèpre ont été dépistés avec 209 cas d’infirmités. Neuf-cent trente-deux malades sont actuellement en traitement, indique-t-on.